
Le groupe armé État islamique annonce la mort de son chef
Abou Al-Hussein al-Husseini al-Qourachi aurait été tué lors d’affrontements avec un groupe djihadiste rival en Syrie.
Abou Al-Hussein al-Husseini al-Qourachi aurait été tué lors d’affrontements avec un groupe djihadiste rival en Syrie.
L’intensification des conflits armés a fait doubler ce nombre depuis 2020 au Burkina Faso, au Mali et au Niger.
Le procès des attentats djihadistes de 2016, qui ont fait 32 morts, s’ouvrira mercredi dans la capitale belge.
Groupe lié à al-Qaïda, les shebab sont depuis 15 ans engagés dans une insurrection contre le gouvernement somalien.
Ce retrait solde près d’un an de relations de plus en plus acerbes entre Paris et les colonels au pouvoir à Bamako.
Cette annonce intervient près d’un an après le chaotique retrait d’Afghanistan des forces américaines.
Salah Abdeslam est le seul membre encore en vie des commandos qui ont fait 130 morts à Paris et à Saint-Denis.
C’est le plus lourd bilan depuis l’arrivée à la tête du Burkina Faso du lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba.
Des centaines de mineurs sont enfermés dans cette ancienne école reconvertie en centre de détention.
Les combats des derniers jours ont fait au moins 181 morts et ont poussé à la fuite 45 000 civils.