
Les mémos sur l’ingérence inaccessibles aux élus qui ont la cote «très secret»
La cheffe du Parti vert, Elizabeth May, s’attendait à pouvoir valider les sources du rapporteur David Johnston.
La cheffe du Parti vert, Elizabeth May, s’attendait à pouvoir valider les sources du rapporteur David Johnston.
Pékin justifie cette décision en raison de l’attitude d’Ottawa dans le dossier de l’ingérence étrangère.
Tous les partis d’opposition demandent depuis mars une enquête publique et indépendante à ce sujet.
Il avait annoncé en juin quitter son poste, citant le climat « hautement partisan » entourant sa nomination.
Éditorial Après le départ de David Johnston, place à l’efficience et au consensus dans le dossier de l’ingérence étrangère.
David Johnston, rapporteur spécial chargé d’enquêter sur l’ingérence étrangère, a annoncé sa démission vendredi soir.
Chronique Les failles dans le rapport de l’ancien gouverneur général confirment la nécessité d’une enquête publique.
L’ancien gouverneur général insistait pourtant encore en début de semaine qu’il ne quitterait pas ses fonctions.
Conservateurs, bloquistes et néodémocrates n’étaient pas convaincus en arrivant, et ne l’étaient pas plus en partant.
La Chambre des communes a adopté plus tôt cette semaine une motion du NPD exhortant le rapporteur spécial à se retirer.