
«Oka, 30 ans après»: repenser la crise d’Oka
Critique Comment mieux cerner les origines et les conséquences de cette crise autrement plus complexe que les simples apparences...
Critique Comment mieux cerner les origines et les conséquences de cette crise autrement plus complexe que les simples apparences...
L’artiste Mathieu Parent invite à réfléchir sur la répression et la suppression des libertés civiles, 50 ans après.
Éditorial Les revendications territoriales restent inassouvies à Kanesatake.
Évitons de nous retrouver avec des mémoires collectives divergentes qui rendent impossible le dialogue.
En 30 ans, la situation s’est certes améliorée, mais il reste encore beaucoup à faire.
Les manuels d’histoire continuent d’être silencieux sur la dépossession et l’ethnocide des peuples autochtones.
Pour un aîné de Kanesatake, « la situation s’est aggravée depuis 1990 ».
Une lettre de l’Assemblée des Premières Nations au premier ministre du Québec.
À l’été 1990, des dizaines de jeunes Autochtones de l’Okanagan ont couru à travers le pays en soutien aux Mohawks.
Témoignage d’un médecin psychiatre qui travaille depuis dix ans à Kahnawake.