Cela remettrait en question l’indépendance de l’organisme de réglementation des transports du Canada.
Ottawa aurait pris plus de sept mois pour réagir après avoir pris connaissance des «failles» dans sa réglementation.
Cette somme lui permettra de rembourser ses clients qui n’ont pas pu s’envoler en raison de la COVID-19.
Les grands donneurs d’ouvrage pourraient hésiter à investir davantage au pays.
Le plan de relance de Biden prévoit une nouvelle bouée de sauvetage de 14 milliards $US pour le secteur.
Samedi, des débris de ce modèle d’avion sont tombés sur une banlieue de Détroit.
![«Par l’engloutissement de Transat, [...] Air Canada concentrerait plus de 60% du marché, un seuil inacceptable dans quelque industrie que ce soit», affirme Pierre Karl Péladeau.](https://media1.ledevoir.com/images_galerie/nwl_878869_700246/image.jpg)
Libre opinion «Air Canada concentrerait plus de 60 % du marché, un seuil inacceptable dans quelque industrie que ce soit.»
Plusieurs conditions sont posées, dont l’obligation de maintenir le siège social et la marque au Québec pour cinq ans.
Des négociations sont en cours concernant la suspension des vols vers le Sud.
Québec s’est réjoui de la nouvelle, qualifiée de «très positive» par la ministre Geneviève Guilbault.