La langue du délinquant
Éditorial Le commissaire aux langues officielles demeure un chien de garde édenté.
Éditorial Le commissaire aux langues officielles demeure un chien de garde édenté.
À l’extérieur du Québec, la population francophone du pays est en déclin.
Les choix du premier ministre ne sont pas assujettis à la Loi sur les langues officielles, rappelle le commissaire.
Après la nomination de la gouverneure générale, plus de 400 plaintes ont été transmises.
La nouvelle gouverneure générale du Canada ne maîtrise pas le français.
Le débat tourne autour de la définition d’un «service» qui doit être fourni dans la langue de l’employé.
Le nombre de plaintes en référence à la Loi sur les langues officielles a explosé en 2020-2021.
Le document a été publié par le Bureau du Conseil privé, considéré comme le ministère du premier ministre.
Une «insécurité linguistique» plombe l’usage du français dans les bureaux fédéraux bilingues.
Difficile de travailler en français au fédéral, alors que les postes non bilingues sont souvent d'office en anglais.