
L’État camerounais admet l’implication de militaires dans un massacre en février
Le gouvernement avait affirmé que la mort de civils était la conséquence d’un «malheureux accident».
Le gouvernement avait affirmé que la mort de civils était la conséquence d’un «malheureux accident».
Une opération militaire dans une zone en proie à un conflit séparatiste a fait 23 morts.
Ce rapt sans précédent serait l’œuvre des séparatistes anglophones.
Cette 20e RIAP propose une sorte d’états des lieux depuis 1998.
Deux opposants de poids ont formé une alliance contre le président sortant, Paul Biya.
Le président sortant, en poste depuis 1982, brigue un 7e mandat.
La délégation craint une défection pour ne pas rentrer au Cameroun.
Le ministère public a sollicité un renvoi au 19 janvier pour faire venir ses témoins.
L’écrivain «serait accusé d’outrage au chef de l’État Paul Biya».