Les attaques de mercredi ont fait un mort, un adolescent israélo-canadien, et une quinzaine de blessés.
Le risque d’escalade nucléaire est désormais au plus haut de l’ère post-Guerre froide, conclut un rapport.
![«Nous avons des preuves de l’utilisation de bombes à sous-munitions dans la région d’Odessa [sur la photo] et dans la région de Kherson», une ville dont s’est emparée l’armée russe, a dit la procureure générale ukrainienne, Iryna Venediktova.](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_1174800_938391/image.jpg)
Des bombes à sous-munitions auraient été utilisées à Odessa et à Kherson.
Le suspect s'est rendu à la police. L'événement ravive notamment le souvenir de l'assaut du 6 janvier.
Il s’agirait d’un acte «délibéré» selon la police. Les enquêteurs fédéraux auraient identifié une personne d'intérêt.
La police a déclaré que de «nombreuses» menaces avaient été proférées.
Le premier ministre Alexis Tsipras dénonce un «attentat contre la démocratie».
Les courriels envoyés jeudi après-midi exigeaient 20 000$ en bitcoins.
Aucune victime n’a été signalée mais les polices locales et fédérales ont été placées en état d’alerte.
De telles découvertes sont relativement courantes en Allemagne.