
Les dessous du bilinguisme
Au Québec, on ne parle pas une «langue étrangère», on parle l’anglais.
Au Québec, on ne parle pas une «langue étrangère», on parle l’anglais.
Jérémy Girard souhaite que les études en anglais soient accessibles aux francophones dès le primaire.
Depuis quand le fait de parler une deuxième langue rabaisse-t-il la première?
Moins le gouvernement se mêlera de son administration, mieux la justice se portera.
Normalement, ce genre de débat se fait et se tranche derrière des portes closes.
Il ne faut pas confondre gestion et consultation.
Éditorial Un bilinguisme aveugle et généralisé s’avère la norme.
Combien d’employeurs en exigent la maîtrise sans que ce soit essentiel?
Le fédéral a notamment payé pour l’agrandissement du cégep Champlain St. Lawrence, dans la capitale nationale.
Le Parlement appelle le gouvernement Trudeau à agir pour rétablir le caractère bilingue du pays à l’étranger.