
Une «English Week» au cégep Garneau qui fait des mécontents
Les établissements d’enseignement doivent prioriser la promotion du français, disent des groupes de défense du français.
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Idées La vision de M. Pratte est emblématique du naufrage intellectuel d’une bonne partie des fédéralistes québécois.
Cette capacité de converser en anglais est loin de se limiter à Montréal et à l’Outaouais, selon Statistique Canada.
Lettres À lire parmi notre sélection quotidienne de lettres rédigées par nos lecteurs.
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«Le français va très bien, merci», clament 18 linguistes francophones.
Cette proportion baisse à Montréal et à Gatineau, où les travailleurs offrent plus souvent un service en anglais.
«Nous sommes la Ville de Côte-Saint-Luc, et c’est comme ça qu’on fonctionne ici», indique un message téléphonique.
Plusieurs préfèrent l’anglais, associé aux réseaux sociaux et à la modernité.
Les élèves se heurtent à un mur lors de la transition vers la langue seconde.