
Des experts de l’ONU réclament une enquête internationale sur l’affaire Navalny
L’Europe, de son côté, a officialisé ses sanctions contre plusieurs hauts fonctionnaires russes.
L’Europe, de son côté, a officialisé ses sanctions contre plusieurs hauts fonctionnaires russes.
Des guerriers anti-COVID aux défenseurs de la liberté de presse, en passant par Donald Trump.
L’opposant au Kremlin a été transféré à l’est de Moscou pour purger sa peine.
Washington se dit «profondément préoccupé» par «l’intolérance croissante» de Moscou envers la liberté d’expression.
L’opposant détenu depuis janvier a tenu des propos haineux dans les années 2000.
Il s’agit de la première longue peine de l’opposant russe confirmée en appel en près d’une décennie.
La Cour européenne des droits de l’Homme a exigé la libération de l’opposant, une demande aussitôt rejetée par Moscou.
Elles ont formé une «chaîne de solidarité» à Moscou, en soutien aux personnes arrêtées lors des récentes manifestations.
Dans les conditions présentes, le pays se voit comme une forteresse assiégée.
Moscou justifie ces expulsions par de supposées participations aux manifestations en faveur d’Alexeï Navalny.