Et maintenant, quoi pour Transat?
Chronique Il y a urgence et le nombre d’avenues possibles est plutôt restreint.
Chronique Il y a urgence et le nombre d’avenues possibles est plutôt restreint.
Le mariage entre le voyagiste québécois et Air Canada semble de plus en plus incertain.
À l’approche de l’échéance, la réponse à cette question demeurait inconnue.
Jeudi, le gouvernement fédéral a donné son feu vert à l’acquisition de Transat A.T. par Air Canada.
2020 a été l’année la «plus sombre de toute l’histoire de l’aviation commerciale».
Plusieurs conditions sont posées, dont l’obligation de maintenir le siège social et la marque au Québec pour cinq ans.
Dix-sept liaisons sont suspendues depuis Montréal, Toronto et Vancouver.
Air Canada réduit sa capacité et annonce la compression de près de 2000 emplois.
Quelque 1900 personnes sont mises à pied chez le transporteur aérien et ses partenaires régionaux.
Le mariage avec Air Canada doit obtenir l’approbation d’Ottawa et de la CE.