En photos | Le bilan de la couverture de Renaud Philippe en Pologne
Notre photographe Renaud Philippe présente un résumé, en images, de son périple en Pologne, où les réfugiés affluent depuis le début de la guerre en Ukraine.

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Un calme étonnant règne alors que, sans arrêt, des familles victimes de l’invasion russe traversent la frontière entre l’Ukraine et la Pologne au poste de Przemyśl. Renaud Philippe Le Devoir

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Un homme tend les bras pour enlacer son neveu et sa sœur au moment où ils réussissent à quitter l’Ukraine. Renaud Philippe Le Devoir

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Pendant des jours, des retrouvailles émouvantes surviennent entre des réfugiés, qui achèvent un long trajet avant d’en commencer un autre, et des membres de leur famille, qui les attendent, parfois depuis des jours, à la frontière. Renaud Philippe Le Devoir

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Errance au poste frontalier de Przemyśl Renaud Philippe Le Devoir

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Un couple tente d’obtenir des nouvelles de membres de sa famille en route vers la Pologne. Renaud Philippe Le Devoir

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Une famille se réchauffe après avoir marché durant des heures pour quitter la guerre. Renaud Philippe Le Devoir

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Des étudiants indiens vivant en Ukraine ont attendu 32 heures dehors, dans le froid, avant d’être capables de passer les services d’immigration. Une fois passés, ils étaient toujours à la recherche d’une façon d’atteindre la gare de Przemyśl, à quinze kilomètres à l’ouest. Renaud Philippe Le Devoir

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«Il n’y a jamais de place dans les bus pour nous, ils laissent passer les femmes et les enfants ukrainiens. Les bus se remplissent, mais sans nous», explique un résident non européen. Sur la photo, un autobus va bientôt partir en direction d’un centre d’accueil. Renaud Philippe Le Devoir

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Des résidents non européens se réchauffent près d’un feu après une nuit glaciale au poste-frontière de Medyka. Renaud Philippe Le Devoir

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La Pologne a mis en place huit gigantesques centres pour recevoir les réfugiés en transit à la frontière. Ici, 2000 personnes s’entassent dans un entrepôt commercial. Renaud Philippe Le Devoir

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Une manifestation contre la guerre devant le consulat russe de Cracovie. Renaud Philippe Le Devoir

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Sous les applaudissements de la petite foule rassemblée au poste frontalier de Przemyśl, des combattants ukrainiens prennent la route du combat. Renaud Philippe Le Devoir

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Une dame cherche des bottes après avoir marché pendant 30 km pour atteindre la frontière séparant l’Ukraine et la Pologne. Renaud Philippe Le Devoir

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Une réfugiée ukrainienne demande des informations au chef de train. Beaucoup de ces réfugiés sont perdus et en état de choc en arrivant. Des dizaines de bénévoles s’affairent pour s’assurer que tous et toutes trouvent un toit ou encore une façon de rejoindre leur famille ou leurs amis, partout en Europe. Renaud Philippe Le Devoir

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L’aide offerte par la population polonaise est de la même ampleur que l’horreur que fuient les réfugiés. Dans un centre de Cracovie, des centaines de personnes défilent chaque jour pour chercher vêtements, poussettes, nourriture ou jouets pour enfants. Renaud Philippe Le Devoir

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Une réfugiée ukrainienne dans un train en direction de Cracovie. Renaud Philippe Le Devoir

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Maria Yanishevska, 12 ans, a tout laissé derrière elle sans dire au revoir à ses amis. Elle est arrivée avec sa mère en prenant le train de Kiev jusqu’à la gare de Przemyśl, où des bénévoles polonais les ont prises en charge et les amènent dans un abri aménagé au centre culturel de la Maison ukrainienne. Renaud Philippe Le Devoir

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La gare de Przemyśl est devenue un véritable hub humanitaire. Là, les réfugiés arrivent par train, des combattants partent vers l’Ukraine et des centaines de famille attendent de trouver un transport vers d’autres endroits en Europe. Renaud Philippe Le Devoir

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Des jours durant, chaque train est envahi par des dizaines, des centaines de personnes en transit, fuyant la guerre, en route vers l’inconnu. Renaud Philippe Le Devoir

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Longue et lente discussion avec Tetiana Stetsenko, grâce à Google Traduction, dans un centre pour réfugiés dans la ville de Cracovie. «S’ils ne ferment pas le ciel, il n’y a plus d’Ukraine.» Renaud Philippe Le Devoir