
Le Conseil de Sécurité de l’ONU sommé d’agir au Myanmar
Des opposants ont peint en rouge des rues à Rangoun pour dénoncer la féroce répression de la junte, samedi.
Rangoun a été prise d’assaut par des manifestants demandant la libération d’Aung San Suu Kyi.
Les contestataires étaient de nouveau très nombreux à défiler contre le putsch du 1er février.
Les jeunes femmes de moins de 40 ans seraient obligées de demander l’autorisation de leur famille dans certains cas.
Les manifestations se déroulaient dans le calme mercredi, alors que la veille la répression était montée d’un cran.
Les sauveteurs redoublaient d’efforts pour tenter de sauver les victimes bloquées dans un tunnel.
L’hypothèse «la plus probable» demeure celle d’une transmission du coronavirus d’un premier animal à un deuxième.
La loi martiale a été décrétée dans plusieurs villes du pays, en proie à de larges manifestations.
On compte maintenant au moins 26 morts et 170 disparus.
Une semaine après le coup d’État, des manifestations d’une ampleur inédite depuis 2007 se multiplient.
L’énorme masse d’eau a dévasté la vallée de la rivière Dhauliganga, détruisant tout sur son passage.
Il s’agit du plus gros rassemblement depuis le coup d’État contre Aung San Suu Kyi.
L’accès à Twitter a été restreint, deux jours après Facebook, pour faire taire les contestataires.
Les appels à la désobéissance civile se multiplient au Myanmar.
Le chef de l’armée birmane a semblé balayer les condamnations internationales.
Il réduit d’autant la probabilité d’avoir un cas symptomatique de la maladie.
Les militaires se sont emparés de l’hôtel de ville de Rangoun et ont fermé l’accès à l’aéroport international.
Le Conseil de sécurité de l’ONU se réunira d’urgence mardi matin pour se pencher sur la situation.
Elle a arrêté plusieurs dirigeants, dont la nobélisée Aung San Suu Kyi, selon son parti politique.
Les autorités demandent aux résidents de respecter une zone d’interdiction de 5 km autour du mont Merapi.
Seul un petit nombre de pays de cette région ont lancé de vastes campagnes de vaccination.