
Un attentat à la bombe dans une mosquée fait 52 morts au Pakistan
Les fidèles étaient rassemblés pour célébrer l’anniversaire du prophète Mahomet dans le sud-ouest du pays.
Les deux nations se disputent la souveraineté de plusieurs îlots et récifs dans l’archipel des Spratleys.
Plus d’une centaine de maisons ou immeubles se sont «effondrés», selon les autorités provinciales.
Les pluies diluviennes ont fait samedi au moins 10 morts supplémentaires.
Un homme d’une vingtaine d’années a poignardé neuf personnes et en a blessé cinq autres avec son véhicule.
Les pluies diluviennes ont fait jusqu’à présent au moins 11 morts et 13 disparus dans la capitale chinoise.
De plus, le temps de connexion quotidien des moins de 18 ans sera limité, selon une nouvelle législation anti-addiction.
L’ex-dirigeante civile de 78 ans voit sa peine réduite de 33 à 27 ans de prison à l’issue d’une grâce collective.
Le chef de la junte a évoqué des attaques en cours un peu partout au pays. L’état d’urgence devait expirer lundi.
Le groupe armé État islamique a revendiqué l’attaque. Le gouvernement pakistanais doit être dissous d’ici peu.
Cet attentat coïncide avec la visite d’une délégation de responsables chinois arrivée dimanche soir dans la capitale.
Le leader nord-coréen a accompagné Sergueï Choïgou à une vaste exposition présentant ces armes, selon les médias d’État.
Sergueï Choïgou était en Corée du Nord à l’occasion de l’anniversaire de la fin des combats entre les deux Corées.
Le scrutin de dimanche aura servi à préparer le terrain pour Hun Manet, dans une succession à la nord-coréenne.
Des syndicats ont lancé une grève générale pour protester contre cette loi qui limite les pouvoirs de la Cour suprême.
Il était inexplicablement absent depuis un mois. Les autorités chinoises n’ont pas justifié leur décision.
Cette opération a pour but d’éviter une marée noire en mer Rouge.
La Maison Blanche a condamné ces «tirs de missiles balistiques» qui surviennent après d’autres essais militaires samedi.
Travis King serait détenu en Corée du Nord après y être entré illégalement le 18 juillet dernier.
Le premier ministre Hun Sen, qui dirige le pays d’une main de fer depuis 38 ans, devrait passer la main à son fils aîné.
Le réformiste Pita a été empêché de se présenter une deuxième fois au poste de premier ministre.