![« Notre priorité absolue est désormais de secourir [les passagers] et de soigner les blessés », a déclaré Pradeep Jena, un haut représentant du gouvernement de l’État d’Odisha.](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_1500367_1156593/image.jpg)
Au moins 207 morts et plus de 850 blessés en Inde dans une catastrophe ferroviaire
La collision entre deux trains de voyageurs et un convoi de marchandises dans l’est du pays a fait plus de 850 blessés.
Pékin revendique la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale, faisant fi d’un jugement international de 2016.
Pékin corrige le tir après que son ambassadeur en France eut nié la souveraineté d’ex-républiques soviétiques.
Pyongyang a ordonné le lancement de son premier satellite espion de reconnaissance militaire sans préciser de date.
Sa population devrait dépasser celle de la Chine de trois millions d’habitants d’ici quelques semaines, selon l’ONU.
L’USS Milius «a effectué un transit de routine dans le détroit de Taïwan» dimanche, a indiqué la marine américaine.
Fumio Kishida s’en est tiré sain et sauf et a pu reprendre ses activités électorales.
Le missile n’est pas tombé sur le territoire japonais a indiqué le premier ministre du pays.
Ces exercices ont lieu après que la Chine eut mené de vastes exercices militaires autour de Taïwan.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme Volker Turk s’est dit «horrifié» après cette attaque.
Le moteur de recherche Baidu a été le premier en Chine à annoncer travailler sur un équivalent local à ChatGPT.
Le ministère taïwanais de la Défense dénombrait mardi 9 navires de guerre et 26 aéronefs chinois autour de l’île.
Le chef spirituel tibétain avait demandé à un jeune garçon de l’embrasser sur les lèvres et avait tiré la langue.
Une dizaine de navires de guerre et environ 70 aéronefs ont été déployés par la Chine, soutenue par la Russie.
Les manoeuvres visent à protester contre la rencontre de sa présidente avec un haut responsable américain.
Pékin a mobilisé au moins 9 navires de guerre et 71 avions militaires, selon le ministère de la Défense de Taïwan.
La Chine avait menacé d’une riposte si l’entretien entre la présidente de Taïwan et Kevin McCarthy avait lieu.
Les chefs d’État ont appelé à des pourparlers de paix le plus tôt possible et rejeté tout recours à l’arme nucléaire.
Pékin a promis mardi une réponse «ferme» à l’entretien entre la présidente de l’île et le républicain.
La guerre en Ukraine est au centre des discussions entre les deux dirigeants.
Le président français veut toutefois se démarquer des États-Unis en évitant une approche marquée par la confrontation.