
L’Ouganda ne reculera pas sur sa loi anti-homosexualité
«Personne ne nous fera bouger», a assuré mercredi le président Yoweri Museveni face aux pressions occidentales.
Au moins 23 personnes ont perdu la vie, et 140 ont été blessées, selon le plus récent bilan.
La veille, après 5 mois de trêve, des combats ont repris entre l’armée fédérale et les rebelles du Tigré.
Le groupe lié à Al-Qaïda avait lancé vendredi soir une attaque d’envergure sur un hôtel à Mogadiscio.
Il a annoncé samedi un recours en justice après les résultats du scrutin, qu’il a qualifié de «blague».
Le parc d’El Kala est considéré comme l’un des principaux réservoirs de biodiversité du bassin méditerranéen.
Le candidat les a qualifiés d'une « parodie » et promettant de poursuivre toutes les options légales à sa disposition.
Celui qui faisait figure de challenger a battu son rival soutenu par le pouvoir, Raila Odinga.
Ce retrait solde près d’un an de relations de plus en plus acerbes entre Paris et les colonels au pouvoir à Bamako.
Plusieurs témoins se sont insurgés contre la lenteur des services d’urgence, arrivés 1h30 après le début de l’incendie.
Plusieurs personnes ont été tuées et des dizaines blessées jeudi dans la région séparatiste du Somaliland.
Kigali a récusé jeudi des «allégations non valides » et avancé son « droit à défendre son territoire ».
Le faible taux de participation entame la légitimité du processus, selon ses opposants.
La participation est le principal enjeu du référendum, où le Oui a de fortes chances de l’emporter.
Laurent Bucyibaruta a été déclaré complice, mais pas auteur, de crimes contre l’humanité pour des massacres en 1994.
Les armes se sont tues le 18 mars 1962 aux termes des accords historiques d’Évian.
Le nord du pays est de nouveau pris dans une spirale de la violence.
Le pouvoir en place s’attaque désormais aux avocats défendant les prisonniers politiques dans ce pays du Maghreb.
La déclaration survient après la diffusion d'une vidéo où un étudiant blanc urine sur les livres d'un camarade noir.
La région de l’ouest du Soudan reste toujours meurtrie par la guerre civile déclenchée en 2003.
Le «Front de salut national» rassemble cinq partis politiques et vise à rétablir le processus démocratique au pays.