
Les violences des trois derniers jours au Darfour ont fait plus de 200 morts
Ce nombre marque une hausse du bilan de trois jours d’affrontements interethniques dans cette région.
Les camps de réfugiés au Tigré sont probablement «désormais à court» de nourriture.
Le bilan officiel de la tuerie grimpe à 76 morts.
La région du nord du pays a «désespérément besoin» d’aide humanitaire, soutient l’organisation.
Le président de la région dissidente a assuré que le combat se poursuivait.
Samedi, les dirigeants tigréens avaient dénoncé des «tirs à l’arme lourde» contre Mekele.
Les autorités tigréennes seraient retranchées dans la capitale Mekele.
Ce tir de roquette ravive les craintes d’une escalade régionale du conflit.
Les autorités dissidentes du cette région sont encerclées à Mekele, la capitale tigréenne d’un demi-million d’habitants.
Il a tenu son pari de se faire réélire au premier tour.
Des centaines de civils ont été tués le 9 novembre dernier.
L’afflux de réfugiés éthiopiens met une pression inouïe sur les ressources de l’un des pays les plus pauvres du globe.
Le pouvoir fédéral projette d’«encercler» prochainement Mekele, capitale du Tigré.
Les résultats, dont la compilation débutaient dimanche soir, sont attendus pour les jours à venir.
Sur le terrain, les communications sont coupées et les journalistes tenus à l’écart.
Dans un camp soudanais, chaque réfugié éthiopien traîne une histoire tragique.
Une opération militaire lancée par le pouvoir fédéral au Tigré a poussé plus de 11 000 personnes à fuir au Soudan.
Lutter contre l’exode rural en Afrique grâce à des programmes de soutien à l’agriculture.
Plusieurs de ses dirigeants font l’objet d’enquêtes, notamment pour «complot contre l’autorité de l’État».
L’ONU et les États-Unis appellent à la «désescalade» et à une résolution pacifique du conflit.
Le premier ministre a accusé le Front de libération du peuple du Tigré d’avoir attaqué une base militaire fédérale.