
Paul Kagame salue le rapport de la France sur son rôle dans le génocide rwandais
Paris ouvre au grand public d’importantes archives sur le drame survenu en 1994.
L’OMS a accusé, mercredi, certains pays riches de «saper» le programme onusien destiné aux pays à faible revenu.
Les forces de l’ordre, omniprésentes, ont arrêté une soixantaine de personnes.
Ce drame survenu dimanche a endeuillé le pays en plein second tour de l’élection présidentielle.
La manœuvre politique du président Tebboune ne risque pas de calmer le Hirak, qui célèbre son deuxième anniversaire.
Le militant Khaled Drareni compte parmi ces prisonniers libérés.
Il libère des détenus du Hirak et appelle à des élections législatives anticipées.
Ce bilan officiel ne reflète néanmoins qu’une fraction du total réel de contaminations.
Le président ordonne une opération de sauvetage.
Les autorités sanitaires se mobilisent pour éviter une nouvelle épidémie.
Sept cas, dont trois mortels, ont été recensés dimanche dans le sud-est de la Guinée.
Le ministre de la Santé, qui s’est dit «préoccupé», a dit que «toutes les dispositions ont été prises».
Une étude souleve des doutes quant à l'efficacité du vaccin d’AstraZeneca contre le variant sud-africain.
Le virus a fait une nouvelle victime, trois mois après la fin officielle de la onzième épidémie dans le pays.
Un exécutif uni et intérimaire devra mettre en place un gouvernement et mettre fin à une décennie de chaos.
La foule dénonce les atteintes aux libertés de protestataires antisystème mobilisés ces dernières semaines.
Ils protestent contre la répression policière et réclament la libération des manifestants arrêtés les jours précédents.
44 rebelles sont morts au cours des affrontements avec les forces armées.
Rabat qualifie la situation de «normale» et dénonce une «guerre de propagande».
Ces manifestations interviennent alors que la pandémie a fait basculer de nombreuses familles dans la pauvreté.
Ce nombre marque une hausse du bilan de trois jours d’affrontements interethniques dans cette région.