
Après les troubles, les Sénégalais reprennent leurs activités, choqués et inquiets
Un nouvel embrasement semble toujours possible dans un contexte politique incertain.
Raids aériens, tirs d’artillerie et mouvements de blindés se poursuivent malgré la reconduction du cessez-le-feu.
L’adoption d’un nouveau texte permettrait au président Faustin Archange Touadéra de briguer un troisième mandat.
Raouf Farrah, qui a documenté le mouvement prodémocratie algérien, est accusé d’avoir attenté à l’ordre public.
Le texte «discriminatoire» est «probablement le pire au monde en son genre», selon les Nations unies.
Ils accusent désormais le chef de l’armée d’avoir fait le lit des paramilitaires qu’il combat aujourd’hui.
Au Darfour, le gouverneur a appelé les civils à s’armer, faisant planer le spectre de la guerre civile.
Le chef de l’armée soudanaise lui fait porter la responsabilité de la guerre qui a éclaté il y a six semaines au pays.
Les combats au Soudan font rage vendredi, au quatrième jour d’un cessez-le-feu désormais «mieux respecté».
Aucun couloir humanitaire n’a encore été sécurisé pour les civils et l’aide internationale.
Le deuxième jour de la trêve entre l’armée et les paramilitaires est marqué par de nouveaux combats dans la capitale.
Les résidents de Khartoum, qui vivent sous une chaleur écrasante, sont pour la plupart privés d’eau et d’électricité.
Une trêve d’une semaine, censée laisser passer civils et aide humanitaire au Soudan, est entrée en vigueur lundi.
Leur lutte de pouvoir est à l’origine du conflit qui a fait près de 1000 morts et un million de déplacés et de réfugiés.
Les Nations unies indiquent avoir besoin d’un peu plus de 3 milliards de dollars pour l’aide au Soudan.
Les généraux rivaux paraissent plus intéressés par le conflit que par des négociations de paix.
Raids aériens, combats de rue et explosions ont fait trembler samedi Khartoum.
L’accord signé en Arabie saoudite entre l'armée et les paramilitaires ne prévoit cependant aucune trêve des hostilités.
Les profits des grands chocolatiers s’envolent, mais les salaires des agriculteurs du Ghana ne suivent pas.
Après 26 jours de conflit entre l’armée et les paramilitaires, plus de 875 000 Soudanais ont fui leur domicile.
Les cinq millions d’habitants de Khartoum vivent barricadés chez eux pour une quatrième semaine de suite.