Le ressac antiféministe
Chronique Avec l’état du monde actuel, la dernière chose que l’on devrait encourager, c’est la complaisance.
Le mouvement #MeToo a été fondé en 2006 par la militante pour les droits civiques Tarana Burke, pour dénoncer les violences sexuelles.
Il a pris véritablement son envol en octobre 2017, dans la foulée de l’affaire Harvey Weinstein, lorsque l’actrice américaine Alyssa Milano a lancé, sur Twitter, un appel aux survivantes de harcèlement ou d’agressions sexuelles, les invitant à publier un message disant «moi aussi» (#MeToo) afin de sensibiliser le public à l’ampleur du problème.
Au cours des années suivantes, #MeToo (et les équivalents #MoiAussi au Québec et #BalanceTonPorc en France) a fait tomber des hommes parmi les plus puissants et a galvanisé un mouvement militant qui a eu un impact tant en ligne que dans le monde réel.
Consultez tous nos contenus sur le mouvement #moiaussi.
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Son passage à la présidence de l’Union des artistes aura été marqué par la pandémie, qui a laissé des traces.
L’Académie interdit aux personnes accusées de «faits de violence» de participer à sa prochaine cérémonie.
Le départ du maire de Toronto en raison d’une relation extraconjugale est un fait rare dans le monde politique canadien.
Les équipes de production multiplient dorénavant les vérifications pour éviter les scandales.
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La mobilisation entourant le cas de Simon Houle donne espoir, mais un équilibre reste encore à trouver.
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