Sa pièce «Une partie de campagne» propose des leçons qui méritent d’être méditées encore aujourd’hui.
L’angoisse de la mort, la génération lyrique voudra la fuir, comme elle a souvent fui le tragique de la vie.
Dans «La nuit», le médecin et écrivain nous plonge dans une époque en continuité avec notre actualité… insulaire
«La manufacture de machines» nous mène à Canterelle, dont la musique intérieure résonne avec notre présent connecté.
Inaugurée par «L’influence d’un livre», notre littérature nationale affiche une foi fascinante dans l’impossible.
L’altérité de l’anglais n’est plus une menace, mais une appropriation souriante chez Germaine Guèvremont.
Son intérêt pour d’autres cultures ne s’est jamais démenti, et il a traité celles-ci avec bienveillance et respect.
Son caractère hybride se prête à différentes lectures suivant la sensibilité, l’imaginaire et l’idéologie du lecteur.
La lire, c’est entrer dans une poésie de l’intériorité, loin de la sensiblerie, capable de distanciation et d’humour.
Cette grande passion lui aura permis d’habiter tout le tumulte et tous les paradoxes de l’âme humaine.