
Fitzgibbon attendra le plan d’Hydro-Québec avant d’allouer d’autres blocs d’énergie
Le gouvernement Legault veut donner le temps au nouveau patron de la société d’État de mettre à jour son plan de match.
Hydro-Québec, une société d'État fondée en 1944, est responsable de la production, du transport et de la distribution de l'électricité au Québec. Avec plus de 60 centrales hydroélectriques, il s'agit du principal producteur d'électricité au Canada et l'un des plus grands producteurs d'hydroélectricité dans le monde.
En 2020, Sophie Brochu a été nommée à la tête de la société d'État, qui entame alors une importante transition énergétique. La présidente-directrice générale quittera toutefois son poste en avril 2023, alors que de grands changements se profilent pour Hydro-Québec, qui doit faire face à une importante augmentation de la demande en électricité. Selon la société, sa capacité de production ne sera plus suffisante dès 2027.
Le gouvernement Legault a fait part de sa volonté de relancer la construction de barrages hydroélectriques d’ici 2050. Il envisage également l'ajout d'éoliennes et veut inciter les abonnés à moins consommer d’électricité lors des périodes de pointe.
Parmi les précédents p.-d.g. d’Hydro-Québec, on note Éric Martel (2015-2020), Thierry Vandal (2005-2015) et André Caillé (1996-2005), connu pour ses interventions lors de la crise du verglas en 1998.
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Libre opinion Loin d’être négative, la création de nouvelles filières énergétiques permettra de compléter son offre.
Le premier ministre juge qu’il est «normal que des parents et des citoyens se posent des questions».
Il est plus avantageux, d’un point de vue financier et énergétique, d’utiliser l’énergie solaire qu’éolienne.
Il existe bon nombre d’autres avenues à explorer pour augmenter la production d’électricité, selon lui.
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