
Série d’hommages en France, cinq ans après le 13-Novembre
La récente succession d’attaques a rappelé que la vague djihadiste ayant frappé il y a cinq ans n’était pas terminée.
Le dirigeant du groupe État islamique (EI), Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qourachi, est mort le 3 février 2022, lors d’une opération des forces spéciales américaines en Syrie, plus de deux ans après l’élimination de son prédécesseur, Abou Bakr al-Baghdadi, tué dans un raid.
L’organisation djihadiste, rivale d’Al-Qaïda, a été chassée de ses fiefs en Syrie et en Irak, mais continue de mener des attaques dans ces deux pays voisins à travers des cellules dormantes.
La guerre complexe en Syrie, pays morcelé où interviennent différents protagonistes, a fait environ 500 000 morts depuis 2011.
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La récente succession d’attaques a rappelé que la vague djihadiste ayant frappé il y a cinq ans n’était pas terminée.
À l’origine de cette attaque qui a fait quatre morts, un «sympathisant» du groupe État islamique.
La plupart des victimes étaient des étudiants.
La famille entière de la petite Amira, 5 ans, a été tuée par des bombardements.
Ils se sont échappés lors de l’attaque sanglante de leur prison à Jalalabad, de dimanche à lundi.
Les djihadistes du groupe EI n’étaient pas partie prenante de la trêve entre talibans et forces de sécurité.
Les soldats ramenés au pays en mars ne reviendront pas forcément à la fin de la pandémie.
Le groupe armé État islamique a revendiqué l’attaque qui a fait trois blessés dimanche.
Le groupe armé État islamique a revendiqué l’attaque qui a fait 71 morts et disparus.
La nomination de son successeur a aussi été annoncée.