
Nathalie Roy ne regrette rien de rien
La ministre dresse un bilan positif de son dernier mandat, marqué par les aléas de la pandémie.
Les deuxièmes élections générales québécoises à date fixe se tiendront le 3 octobre 2022, après plus de deux ans de pandémie de COVID-19.
Le sujet de la gestion de la pandémie — et notamment l’état d’urgence sanitaire instauré par le gouvernement Legault durant celle-ci — jouera sans aucun doute un rôle dans la campagne électorale. Parmi les autres sujets à surveiller : la pénurie de main-d’œuvre ; la réforme de la loi 101 ; la légalité de la Loi sur la laïcité (adoptée par l’Assemblée nationale malgré l’opposition des libéraux et des solidaires) ; les résultats du vote dans la circonscription de Marie-Victorin ; et le bilan climatique.
De plus, un nouvel acteur s’est avancé sur l’échiquier politique cette année : Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec. Celui-ci récolte notamment plusieurs appuis dans la région de Québec, et tentera de damer le pion à la Coalition avenir Québec (CAQ) de François Legault dans la capitale et ses environs. Le PCQ y devance pour l'instant Québec solidaire (QS), le Parti libéral du Québec (PLQ) et le Parti québécois (PQ) dans les intentions de vote.
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La ministre dresse un bilan positif de son dernier mandat, marqué par les aléas de la pandémie.
Discuter de cette crise qui touche déjà presque tous les aspects de nos vies est dans l’intérêt national.
Le PQ et le PCQ lui reprochent d’utiliser le rapport Savoie pour « peaufiner sa plateforme » en santé.
L’offre au grand public n’est pas un aveu de faiblesse, selon le chef, qui veut « élargir [les] bassins » politiques.
L’élu évoque des raisons familiales.
Les libéraux tenteront de regagner cette circonscription de l’Estrie avec la candidature de Claude Vadeboncoeur.
Il s’opposera au député solidaire Vincent Marissal.
«Le Devoir» analyse la 42e législature du Parlement du Québec.
Après près de quatre ans de travaux teintés par la pandémie, plusieurs députés avaient les nerfs à fleur de peau.
Le premier ministre conclut une session dont la fin a été dominée par le retour du débat souveraineté-fédéralisme.