
La Maison-Blanche se montre optimiste sur un traité de paix commerciale avec la Chine
Washington a donné à Pékin jusqu’au 1er mars pour trouver un terrain d’entente.
La possibilité de négocier des accords de réparation est bien reçue, mais on verra.
Le programme de très gros porteurs n’a jamais remporté le succès commercial espéré.
Sural, qui devait composer avec les tarifs américains, était cliente d’ABI.
L’entreprise a besoin de 375 millions de plus pour respecter ses échéanciers.
Un projet minier compliqué en Amérique du Sud est au coeur des enjeux.
À coups de commandites et de financement, le géant chinois polit son image.
Un divorce sans accord serait «extrêmement dramatique».
La coop doit réduire ses coûts de 50 millions.
Certains les voient comme une tape sur les doigts.
De nouvelles accusations seraient déposées au Québec contre SNC-Lavalin.
Plus de 600 000 emplois seraient menacés dans le monde, y compris au Canada.
Elles craignent de ne pas pouvoir en refiler les coûts à leurs clients.
L’entreprise passe dans ses comptes les revenus différés de son ancien patron.
Le CCU recommande aux promoteurs d’intégrer des logements sociaux.
Un problème en Amérique du Sud est montré du doigt.
Deux contre-torpilleurs transitent en mer de Chine méridionale.
Cela reste une option en vertu de la loi.
Quelque 700 000 jeunes surnommés «Dreamers» sont menacés d’expulsion.
La Commission exige une analyse approfondie sur la gouvernance.
Au Royaume-Uni, tant les entreprises que les consommateurs sont dans l’attente.