«Le Devoir» accroît son lectorat global

La communauté du «Devoir» est formée de décideurs et d’influenceurs plus scolarisés que la moyenne.
Photo: Olivier Zuida Le Devoir La communauté du «Devoir» est formée de décideurs et d’influenceurs plus scolarisés que la moyenne.

Le Devoir est encouragé par la publication des derniers résultats de Vividata, la référence en matière de mesure d’audience. En effet, notre lectorat global a progressé de 4,3 % au troisième trimestre de 2017, dans le marché du Québec francophone de 18 ans et plus, ce qui représente le plus fort taux de croissance du lectorat au Québec.

Les résultats du troisième trimestre 2017 de Vividata couvrent la période d’octobre 2016 à septembre 2017, ce qui correspond au déploiement de la nouvelle application mobile du Devoir et au lancement de campagnes de publicité audacieuses pour acquérir de nouveaux abonnés. Ces campagnes nous ont valu trois prix Boomerang remis par Infopresse en 2017, incluant le Grand Prix, pour l’ensemble de nos efforts de repositionnement de la marque.

Le Devoir commence à récolter les fruits de cette stratégie grâce à vous, chers lecteurs et lectrices. Vous êtes maintenant 637 000 à lire nos éditions imprimées, du lundi au samedi (en hausse de 3,6 % par rapport au deuxième trimestre), et 674 000à consulter nos éditions numériques, principalement sur note site Internet, notre application mobile et notre application tablette (en hausse de 5 %).

Ces résultats nous confortent dans notre stratégie, qui consiste à maintenir une édition imprimée de qualité tout en poursuivant le développement d’applications numériques performantes pour accroître et diversifier notre lectorat.

Bien sûr, la part de marché du Devoir est moins grande que celle de ses concurrents. À titre indicatif, Le Devoir est consulté au moins une fois, sur toutes ses plateformes confondues (imprimées et numériques), par un cumulatif de 1,07 million de lecteurs toutes les semaines. En comparaison, La Presse + attire 2,32 millions de lecteurs et Le Journal de Montréal, 2,96 millions.

Mais le lectorat du Devoir est unique. Notre communauté est formée de décideurs et d’influenceurs plus scolarisés que la moyenne. Il s’agit d’un lectorat de prestige, et contrairement aux croyances populaires, il n’est pas grisonnant !

Dans le marché du Québec francophone, plus de 40 % de nos lecteurs (versions imprimées et numériques) sont âgés de 18 à 34 ans. À ce chapitre, Le Devoir attire quelque 422 000 millénariaux, en hausse de 13 % par rapport au deuxième trimestre de 2017.

L’année 2018 sera marquée par de nouveaux changements au Devoir. Nous lancerons dans moins de deux semaines une version améliorée de notre site Internet, qui s’adaptera aux téléphones intelligents. Nous avons également confié à Lucie Lacava le mandat de revoir la grille graphique du journal, dans le même esprit que le D magazine, notre format de fin de semaine, qui porte sa signature.

Sans succomber aux discours creux du marketing vaseux, je conclus en vous disant simplement que Le Devoir n’a pas fini de vous surprendre par sa résilience et son audace. Merci à tous ceux et celles qui nous lisent et qui nous appuient. Vous portez avec nous le flambeau d’une information de qualité. Dans un univers de trivialités et de fausses nouvelles, c’est une lumière rare et précieuse.

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