
Les Québécois critiques du travail des médias
La perception des gens à l’égard des médias varie cependant selon leur préférence politique.
Des citoyens ont pu échanger avec des artisans du milieu de l’information lors d’un premier festival de journalisme.
Des villes aux quatre coins du pays se transforment en désert médiatique, faute de journalistes.
Le média accepte de vendre ses actifs à un consortium de prêteurs en échange de 225 millions de dollars de crédit.
La situation concerne plusieurs publications, et elle n’affecte pas que les lecteurs établis en région.
La déclaration survient alors que Québecor a déjà aboli 240 postes en février dernier, dont 140 du groupe médiatique.
Le quotidien a remis jeudi deux prix pour le volet collégial et deux autres pour le volet universitaire.
Le diffuseur public y était inactif depuis trois semaines en raison d’un litige sur son identification.
Le CRTC mène actuellement une consultation sur le renouvellement du permis de diffusion de la chaîne.
Balado Pourquoi le roi Charles III a choisi une quiche aux épinards et autres symboles verts pour l’événement historique?
Contrairement à sa mère, Charles III accède au trône dans une ère médiatique sans pitié.
Le légendaire chef d’antenne croit que le travail des journalistes est trop mal connu de la population.
Le concours pancanadien récompense le travail des créateurs et créatrices de contenu numérique.
Depuis l’an dernier, le palmarès de Reporters sans frontières a connu de forts mouvements.
Autrefois présentées comme une solution d’avenir, ces plateformes connaissent aujourd’hui d’importantes difficultés.
Radio-Canada l’a retiré de ses plateformes, jugeant qu’il ne respectait pas ses normes et pratiques journalistiques.
Elon Musk n’a donné aucun détail sur les prix ou le fonctionnement.
Balado On retrace l’évolution d’une profession en mutation, par-delà son image autrefois légère et divertissante.
Métro Média menace de licencier la moitié de sa salle de rédaction dans la foulée de la disparition du Publisac.
Il était connu pour ses émissions controversées émaillées de jurons, de vulgarités et d’altercations physiques.
L’entreprise dit ne pas avoir eu le temps de déployer son plan de transition du journal papier vers le numérique.