Coup d’envoi du 31e gala des prix Gémeaux

Éric Salvail et Jean-Philippe Wauthier ont donné le coup d’envoi du 31e gala des prix Gémeaux, dimanche, avec du mordant, des commentaires incisifs et une apparition surprise de Sophie Grégoire. Les artistes attentifs dans la salle comble du Théâtre Saint-Denis, à Montréal, étaient à l’affût de chaque remarque.
Lors de la Soirée des artisans et du documentaire, qui a eu lieu jeudi dernier, la série Série Noire, qui, à l’instar d’Unité 9, mène avec 13 nominations, avait déjà remporté quatre prix Gémeaux du côté de la fiction : « Meilleure direction photographique : fiction » ; « Meilleurs décors : fiction » ; « Meilleure distribution artistique : fiction » ; et « Meilleure musique originale : fiction ».
Au secours de Béatrice talonne de près Série Noire avec trois prix (« Meilleur texte : série dramatique annuelle », « Meilleur rôle de soutien masculin : série dramatique annuelle » pour James Hyndman et « Meilleure production numérique »). Forte de trois prix également, la série Les pays d’en haut a remporté les Gémeaux de la « Meilleure réalisation : série dramatique ou saisonnière », du « Meilleur montage : fiction » et de la « Meilleure création de costumes : toutes catégories ». Suit de près Unité 9 avec deux Gémeaux, celui de la « Meilleure réalisation : série dramatique annuelle » et du « Meilleur rôle de soutien féminin : série dramatique annuelle » pour Céline Bonnier. Puis viennent Ruptures avec le Gémeaux du « Meilleur texte : série dramatique saisonnière » et Mensonges 3 avec celui du « Meilleur rôle de soutien masculin : série dramatique saisonnière » pour Guillaume Lemay-Thivierge.
Du côté de la comédie, c’est plutôt serré alors que deux séries se retrouvent nez à nez avec trois prix. La première saison de Boomerang se distingue grâce à ses acteurs : Antoine Bertrand (« Meilleur premier rôle masculin : comédie ») ; Fabien Cloutier (« Meilleur rôle de soutien masculin : comédie ») et Marie-Thérèse Fortin (« Meilleur rôle de soutien féminin : comédie »). Pour sa part, la dernière saison des Beaux malaises rafle les Gémeaux de la « Meilleure réalisation : comédie », du « Meilleur texte : comédie » et du « Meilleur premier rôle féminin : comédie » pour Julie LeBreton.
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