
Danse à quatre
Deux metteurs en scène et deux chorégraphes se livrent à un jeu de miroirs et de questions-réflexions sur leur art.
En prime, un livre et trois idées pour amener le mouvement jusqu’à soi et engager le pas.
Une série d’activités célèbre le centenaire de naissance du chorégraphe de «Casse-Noisette» des GBC.
Un sondage du Regroupement québécois de la danse révèle à quel point la COVID affecte les danseurs professionnels.
Pour sa 10e édition, l’organisme fait le choix de l’avenir.
Avec Papillon, la chorégraphe cherche à offrir une plus-value à l’amoureux des arts vivants au régime sec.
Sans aide gouvernementale, 80% de ces établissements estiment leur survie menacée.
Montréal accueille virtuellement 38 interprètes africains qui reprennent «Le sacre du printemps» de Pina Bausch.
Dans les coulisses de «La question de fleurs», récit d’une création sous COVID-19.
Les pièces intimistes et l’hybridité seront à l’honneur cet automne, tout comme les artistes d’ici.
Le festival s’adapte au contexte pandémique.
Karine Ledoyen lance «Osez! En solo», une série de chorégraphies et conception sonore pour un spectateur à la fois.
Le directeur artistique du Festival des Arts de Saint-Sauveur a choisi de se servir de la crise comme d’un tremplin.
Le milieu de la danse s’organise à distance dans une optique de rencontre et de partage.
Maîtres et élèves s’invitent dans nos salons de confinés pour faire vivre un art aussi fédérateur que libérateur.
Son nouveau projet est tout autant celui d’une femme, d’une mère, d’une danseuse que d’une chorégraphe.
Critique Superposant danse et mots, la pièce de Crystal Pite sort nettement du lot.
La chorégraphe allie engagement artistique, pédagogique et politique.
Critique
Geneviève Smith-Courtois et Jane-Alison McKinney construisent deux modalités de regard sur l’image du corps féminin.
Sarah Dell’Ava et Linda Rabin nourrissent le paysage chorégraphique en invitant quiconque le désire dans le mouvement.