Sur le radar: Éliane Excoffier et la vie nocturne des animaux sauvages

Des corps féminins aux animaux domestiques de son quotidien, chien et cheval par exemple, la photographe Éliane Excoffier présente ses sujets dans des univers feutrés rendus par des cadrages étudiés et les noirs et blancs. Dans une toute nouvelle série présentée chez son galeriste Simon Blais, l’artiste se tourne vers la vie nocturne des animaux sauvages.
L’œil automatisé et continu de caméras de chasse lui a fourni son matériel, des images révélant une activité insoupçonnée à laquelle les opérations de l’artiste, manipulation de l’image numérique et impression argentique, confèrent un supplément de mystère. Des scènes à peine fabulées dévoilent la dynamique secrète de la forêt, aussi cruelle qu’enchantée.
Un autre corpus rend en couleurs le regard attentif d’Excoffier sur cet environnement qu’elle aborde comme les scènes intimes d’avant, pour ses dimensions affectives. Le rappelle, inséré en noir et blanc dans la séquence, le voile délicat d’un rideau à la fenêtre dont l’extérieur est ici le terrain de l’artiste. En quelques images se dénouent le théâtre des saisons et l’intrigue saisissante d’une pauvre dépouille animale. Jusqu’au 30 juin.
L’œil automatisé et continu de caméras de chasse lui a fourni son matériel, des images révélant une activité insoupçonnée à laquelle les opérations de l’artiste, manipulation de l’image numérique et impression argentique, confèrent un supplément de mystère. Des scènes à peine fabulées dévoilent la dynamique secrète de la forêt, aussi cruelle qu’enchantée.
Un autre corpus rend en couleurs le regard attentif d’Excoffier sur cet environnement qu’elle aborde comme les scènes intimes d’avant, pour ses dimensions affectives. Le rappelle, inséré en noir et blanc dans la séquence, le voile délicat d’un rideau à la fenêtre dont l’extérieur est ici le terrain de l’artiste. En quelques images se dénouent le théâtre des saisons et l’intrigue saisissante d’une pauvre dépouille animale. Jusqu’au 30 juin.