Un Montréal complètement cirque polymorphe

Photo: Catherine Legault Le Devoir

Pour ses dix ans, Montréal complètement cirque poursuit son exploration des frontières disciplinaires, proposant une édition polymorphe, qui touche à la fois aux arts visuels, à la danse, à la musique et au théâtre, avec, toujours en son centre, le meilleur du monde circassien. Désormais installé sur deux pôles (la Tohu et le Quartier des spectacles), le festival s’ouvrira sur des retrouvailles avec Les 7 doigts, de retour au pays avec Bosch Dreams inspiré de l’univers du peintre néerlandais. Parmi les propositions en salles, on retient Finale, le déjanté cabaret berlinois underground d’Analog, le retour de la troupe britannique Gandini Juggling avec Spring qui mêle jonglerie et danse contemporaine, la nouvelle production de Machine de Cirque, qui nous invite dans une galerie d’art avec La galerie.On sera curieux aussi de voir Se prendre, spectacle parcours intime de Claudel Doucet et Cooper Smith, comme d’aller faire un tour à La Chapelle, où la relève sera mise en vitrine. Cette 10e édition, qui comptera aussi nombre de propositions de rue, se tiendra du 4 au 14 juillet.

À voir en vidéo