
Jusqu’à 10 % des travailleurs de la santé du Québec sont touchés par la COVID longue
Plus de la moitié d’entre eux ressentent des symptômes depuis plus d’un an.
Des symptômes qui perdurent, une grande fatigue et des difficultés respiratoires même une fois rétablies : certaines personnes ayant contracté la COVID-19 semblent toujours en souffrir plusieurs semaines, voire des mois après l’infection. Les patients atteints rapportent également des malaises post-effort, des maux de tête, des difficultés à accomplir leurs activités quotidiennes et des répercussions sur leur santé mentale. On parle alors de syndrome post-COVID, ou encore de COVID longue durée.
Les scientifiques cherchent depuis les débuts de la pandémie à mieux comprendre ce mal à long terme qui frappe de 10 à 20 % des personnes infectées par le SRAS-CoV-2. Certains penchent pour la théorie de l’auto-immunité, alors que d’autres pensent plutôt que des virus persisteraient dans l’organisme et favoriseraient une inflammation. Des études suggèrent que la vaccination pourrait aider à diminuer les symptômes de la COVID longue et peut-être même à l’éviter.
Pour en savoir plus: Qu’avons-nous appris sur la COVID longue durée?
Consultez tous nos textes sur la COVID longue.
Plus de la moitié d’entre eux ressentent des symptômes depuis plus d’un an.
Plus les symptômes sont sévères, plus la dysfonction de la barrière intestinale serait importante.
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Ces études visent à tester des traitements possibles pour lutter contre cette maladie mystérieuse.
C’est la conclusion d’une étude française publiée dans la revue International Journal of Infectious Diseases.
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