
La faiblesse du projet de traité sur la lutte contre les pandémies critiquée
La COVID-19 a jeté une lumière crue sur les failles du système sanitaire mondial.
Le nouveau coronavirus, ou SRAS-CoV-2, qui est responsable de la COVID-19, a d’abord été identifié dans la ville de Wuhan, en Chine, à la fin de l’année 2019. L’épidémie a atteint le rang de pandémie au mois de mars suivant.
Des millions de cas ont été recensés dans le monde et plus de 5 millions de personnes en sont mortes, confrontant les autorités de nombreux pays à une crise sanitaire sans précédent. L’Inde, le Brésil, les États-Unis et le Royaume-Uni comptent parmi les pays les plus frappés.
Au fil du temps, des mutations du virus ont créé des variants, dont certains préoccupants. Plusieurs vaccins contre la COVID-19 ont été créés (notamment ceux de Pfizer-BioNTech, Moderna ou AstraZeneca) et des campagnes de vaccination ont été organisées, majoritairement dans les pays industrialisés.
La COVID-19 a jeté une lumière crue sur les failles du système sanitaire mondial.
C’est la conclusion d’une étude française publiée dans la revue International Journal of Infectious Diseases.
Des enquêteurs de la division économiques ont effectué, mardi, des perquisitions dans les locaux du conseil de bande.
La vérificatrice générale constate que la majorité des contrats du réseau de la santé sont octroyés sans appel d’offres.
L’objectif de cet accord serait de prévenir une prochaine pandémie et d’y réagir d’une manière plus efficace.
Près de 50% des élèves fréquentant des écoles où les cours ont été interrompus pendant au moins huit semaines ont pâti.
Les personnes jugées à haut risque de complications auront toujours accès sans frais à ces tests de dépistage.
Comme pour la COVID-19, la phase aiguë de l’épidémie est passée, mais la vigilance reste de mise.
La mesure permettait une expulsion sans délai vers le Mexique au nom de la lutte contre la COVID-19.
La surveillance de la pandémie de coronavirus est nécessaire, malgré la fin du niveau maximal d’alerte de l’OMS.