Plus que des gagne-pains, des carrières sont possibles dans nos entreprises

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Être payé pour un travail ne suffit plus. On cherche à donner un sens à toutes ces heures de labeur. L’expression «gagner sa vie» a pris une tout autre signification depuis l’avènement de la crise sanitaire.
Quand on est embauché par une quincaillerie ou un centre de rénovation, on passe de l’utile à l’agréable et vice-versa. Puis hop, la journée est terminée.
Le sentiment d’être utile survient chaque fois qu’un client soumet un problème. Ma toilette coule, le froid nous fait frissonner, ma porte n’est pas sécuritaire. Autant de cas quotidiens qui peuvent amener un citoyen en désarroi, du moins dans une position d’attente et d’espoir face à sa quincaillerie préférée.
L’impression de se sentir agréable pour l’autre arrive, lui, quand un client partage un projet, un rêve. Dès lors, l’aider, l’accompagner à réaliser la chambre d’enfant tant attendue, un atelier où bricoler, une terrasse où se reposer, une cour pour festoyer comble tout employé de quincaillerie.
En usine ou en entrepôt, les émotions référant à l’utile et à l’agréable ne sont pas moins intenses ni fréquentes. Ici, on fait partie d’une équipe qui, comme dans le sport, doit s’entraîner et s’entraider pour réussir. L’émulation vient d’objectifs nobles à rencontrer, comme le zéro accident de travail, l’achèvement d’un prototype révolutionnaire avant telle échéance, le taux de conformité à une norme d’excellence fixée par un client majeur ou un organisme de certification de qualité.
En magasin comme en manufacture, dans le secteur de la quincaillerie, le bien-être des effectifs s’est hissé tout en haut des préoccupations des gestionnaires.
Que ce soit à Saint-Pamphile dans la région de Chaudière-Appalaches ou à Amos en Abitibi-Témiscamingue, Matériaux Blanchet récolte du bois avec le respect de la régénération des sols et opère avec des machines à la fine pointe de la technologie. Emmanuel Forget, son directeur des ventes et du marketing, est convaincu de l’impact du comportement de l’entreprise sur le moral des troupes.
«Un client un jour m’a dit que nous avions de bons produits, une belle mise en marché, mais que notre plus grande force était notre façon d’être. Vous devriez trouver un moyen de propager cette bonne nouvelle.» Cette citation de Martine Sgariglia, présidente de Concept SGA, une entreprise de Terrebonne qui conçoit, assemble, fabrique et distribue des portes de placard et des rampes d’escalier, témoigne de l’importance que clients et patrons dans notre industrie s’évertuent d’accorder à leurs employés.
Le commerce de la quincaillerie au Québec, c’est…809 points de vente
On réserve sa place sans frais ni engagements sur renoEMPLOI.org
Être payé pour un travail ne suffit plus. On cherche à donner un sens à toutes ces heures de labeur. L’expression «gagner sa vie» a pris une tout autre signification depuis l’avènement de la crise sanitaire.
Quand on est embauché par une quincaillerie ou un centre de rénovation, on passe de l’utile à l’agréable et vice-versa. Puis hop, la journée est terminée.
Le sentiment d’être utile survient chaque fois qu’un client soumet un problème. Ma toilette coule, le froid nous fait frissonner, ma porte n’est pas sécuritaire. Autant de cas quotidiens qui peuvent amener un citoyen en désarroi, du moins dans une position d’attente et d’espoir face à sa quincaillerie préférée.
L’impression de se sentir agréable pour l’autre arrive, lui, quand un client partage un projet, un rêve. Dès lors, l’aider, l’accompagner à réaliser la chambre d’enfant tant attendue, un atelier où bricoler, une terrasse où se reposer, une cour pour festoyer comble tout employé de quincaillerie.
En usine ou en entrepôt, les émotions référant à l’utile et à l’agréable ne sont pas moins intenses ni fréquentes. Ici, on fait partie d’une équipe qui, comme dans le sport, doit s’entraîner et s’entraider pour réussir. L’émulation vient d’objectifs nobles à rencontrer, comme le zéro accident de travail, l’achèvement d’un prototype révolutionnaire avant telle échéance, le taux de conformité à une norme d’excellence fixée par un client majeur ou un organisme de certification de qualité.
En magasin comme en manufacture, dans le secteur de la quincaillerie, le bien-être des effectifs s’est hissé tout en haut des préoccupations des gestionnaires.


- répartis entre 601 affiliés, 118 magasins corporatifs et 90 non-affiliés
- couvrant au total 17 175 936 pieds carrés
- où travaillent 35 415 personnes, dont 70% à temps plein
- qui cumulent un chiffre d’affaires de 9 181 748 000 dollars
La fabrication d’articles et de matériaux résidentiels au Québec, c’est…
245 usines- dont 55% sont de propriété locale, 25% sont canadiennes, 20% sont américaines et 5% étrangères
- où travaillent 7840 personnes, dont 80% temps plein
- qui fabriquent 2420 gammes de produits déclinées en 16 940 articles et matériaux pour la maison.

À LA RECHERCHE D’UN EMPLOI OU D’UN CHANGEMENT DE CAP?
Vous êtes invité à suivre GRATUITEMENT l’atelier en ligne sur l’initiation à l’emploi en quincaillerie. Si vous réussissez le quiz à la fin des six capsules, votre cv sera rendu disponible aux employeurs du secteur de la quincaillerie.On réserve sa place sans frais ni engagements sur renoEMPLOI.org
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