Spring: quand la danse contemporaine et la jonglerie se rencontrent

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Du 3 au 8 juillet, Gandini Juggling sera à MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE.
Après avoir charmé le public québécois avec Smashed (2013) et 4 x 4 Ephemeral Architectures (2016), la troupe britannique Gandini Juggling sera de retour à Montréal cet été, et cette fois à la TOHU, à l’occasion de la 10e édition de MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE. Du 3 au 8 juillet, elle y présentera Spring, un spectacle réellement unique où la jonglerie et la danse se conjuguent de manière exceptionnelle.
Mis en scène par Sean Gandini et chorégraphié par Alexander Whitley, Spring constitue la dernière partie d’une trilogie qui explore les dialogues communs entre la danse et la jonglerie. « Moi, je vois ça comme des Tinder dates entre la jonglerie et la danse, lance Sean Gandini en riant. Lors du premier spectacle, c’était jonglerie et ballet. Le rendez-vous était au café. Après, on a fait jonglerie et danse classique indienne, et ils sont allés au cinéma. Maintenant, c’est jonglerie et danse contemporaine, et nos disciplines se sont mariées ! »
À la hauteur de la réputation de ses créateurs, le spectacle témoigne d’une grande recherche artistique et s’avère extrêmement raffiné. Réunissant sur scène une dizaine d’artistes, il mêle fort habilement les mouvements de danse contemporaine aux balles et aux anneaux.
Les éclairages, conçus par Guy Hoare, un concepteur qui se spécialise dans les créations pour la jonglerie, la danse, le théâtre et l’opéra, contribuent grandement à la proposition. Dans une exploration fascinante de la couleur, ils saturent tantôt la scène de rouge, tantôt de jaune, de vert ou de bleu. Tel un kaléidoscope, ils projettent le public dans une expérience hautement sensorielle. Extrêmement précis et incisifs, ils créent des ambiances qui mettent en relief la virtuosité des interprètes et qui permettent d’apprécier pleinement leur talent.
Crédit : Photo Simon Carter
« Les éclairages sont fabuleux, estime Mme Marchand. Ils découpent vraiment bien les tableaux. On parle ici d’une réelle mise en scène appuyée par la lumière avec plein de créativité et d’invention. » La musique occupe également une place très importante dans ce spectacle. Sa trame, essentiellement constituée de rythmes contemporains déconstruits, est signée par Gabriel Prokofiev, un compositeur, disc-jockey et producteur reconnu pour son approche avant-gardiste de la musique classique.
« Ce n’est pas la musique la plus facile, mais j’aime beaucoup ses structures compliquées, signale M. Gandini. Elle est funky et complexe. Ça fonctionne très bien avec ce qu’on fait. » De la même manière qu’il l’était dans Smashed et 4 x 4 Ephemeral Architectures, l’humour est bien présent dans Spring. Un brin décalé, il rappelle la provenance britannique de la troupe et sert très bien la proposition.
Au final, tous ces éléments réunis créent un résultat soufflant qui s’adresse autant aux amateurs de danse et de cirque contemporains qu’aux curieux désireux de vivre une expérience. « Ce spectacle est d’une beauté, d’un raffinement et d’un esthétisme absolument incomparables, souligne Mme Marchand. Tout est pur et extrêmement précis, et c’est fait avec une grâce exceptionnelle. C’est vraiment à voir ! »
« Sean Gandini et sa troupe ont beaucoup fait évoluer la jonglerie, confirme la directrice de MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE. Traditionnellement, c’est un art qu’on voit surtout sous forme de numéro dans des spectacles de cirque. Personne d’autre ne l’a exploité de façon aussi pointue, avec autant de raffinement et d’envergure. »
Lors de ses passages à MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE en 2013 et 2016, elle a complètement ravi le public. L’équipe du festival se réjouit d’avoir pu la programmer à nouveau cette année.
« On aime beaucoup suivre le travail d’une compagnie et la ramener, confie Mme Marchand. Ça permet au public d’être témoin de son évolution. »
Sean Gandini assure que le plaisir est partagé : « On adore venir à Montréal, même en hiver, quand il y a des tempêtes de neige, révèle-t-il. C’est une ville spéciale qui nous a toujours bien accueillis. On ne s’est encore jamais produits à la TOHU et on a très hâte de le faire ! »
Du 3 au 8 juillet, Gandini Juggling sera à MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE.
Après avoir charmé le public québécois avec Smashed (2013) et 4 x 4 Ephemeral Architectures (2016), la troupe britannique Gandini Juggling sera de retour à Montréal cet été, et cette fois à la TOHU, à l’occasion de la 10e édition de MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE. Du 3 au 8 juillet, elle y présentera Spring, un spectacle réellement unique où la jonglerie et la danse se conjuguent de manière exceptionnelle.
Mis en scène par Sean Gandini et chorégraphié par Alexander Whitley, Spring constitue la dernière partie d’une trilogie qui explore les dialogues communs entre la danse et la jonglerie. « Moi, je vois ça comme des Tinder dates entre la jonglerie et la danse, lance Sean Gandini en riant. Lors du premier spectacle, c’était jonglerie et ballet. Le rendez-vous était au café. Après, on a fait jonglerie et danse classique indienne, et ils sont allés au cinéma. Maintenant, c’est jonglerie et danse contemporaine, et nos disciplines se sont mariées ! »
À la hauteur de la réputation de ses créateurs, le spectacle témoigne d’une grande recherche artistique et s’avère extrêmement raffiné. Réunissant sur scène une dizaine d’artistes, il mêle fort habilement les mouvements de danse contemporaine aux balles et aux anneaux.
Les éclairages, conçus par Guy Hoare, un concepteur qui se spécialise dans les créations pour la jonglerie, la danse, le théâtre et l’opéra, contribuent grandement à la proposition. Dans une exploration fascinante de la couleur, ils saturent tantôt la scène de rouge, tantôt de jaune, de vert ou de bleu. Tel un kaléidoscope, ils projettent le public dans une expérience hautement sensorielle. Extrêmement précis et incisifs, ils créent des ambiances qui mettent en relief la virtuosité des interprètes et qui permettent d’apprécier pleinement leur talent.

« Ce n’est pas la musique la plus facile, mais j’aime beaucoup ses structures compliquées, signale M. Gandini. Elle est funky et complexe. Ça fonctionne très bien avec ce qu’on fait. » De la même manière qu’il l’était dans Smashed et 4 x 4 Ephemeral Architectures, l’humour est bien présent dans Spring. Un brin décalé, il rappelle la provenance britannique de la troupe et sert très bien la proposition.
Au final, tous ces éléments réunis créent un résultat soufflant qui s’adresse autant aux amateurs de danse et de cirque contemporains qu’aux curieux désireux de vivre une expérience. « Ce spectacle est d’une beauté, d’un raffinement et d’un esthétisme absolument incomparables, souligne Mme Marchand. Tout est pur et extrêmement précis, et c’est fait avec une grâce exceptionnelle. C’est vraiment à voir ! »
Le phénomène Gandini Juggling
Basée à Londres, Gandini Juggling est considérée comme l’une des compagnies de cirque contemporain les plus prolifiques et les plus audacieuses à l’échelle mondiale. Fondée en 1992 par Sean Gandini et Kati Ylä-Hokkala, elle a largement contribué à repousser les limites artistiques et techniques de la jonglerie, notamment en la conjuguant à la danse et en remettant en question la classification des genres.« Sean Gandini et sa troupe ont beaucoup fait évoluer la jonglerie, confirme la directrice de MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE. Traditionnellement, c’est un art qu’on voit surtout sous forme de numéro dans des spectacles de cirque. Personne d’autre ne l’a exploité de façon aussi pointue, avec autant de raffinement et d’envergure. »
Au fil des ans, Gandini Juggling a créé plus d’une trentaine de spectacles, qu’elle a présentés dans une cinquantaine de pays à travers le monde. Aujourd’hui, la troupe compte 24 membres officiels ainsi que plusieurs artistes et jongleurs associés.L’alliage est absolument parfait, l’intégration est totale », relève Mme Nadine Marchand, directrice de MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE .
Lors de ses passages à MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE en 2013 et 2016, elle a complètement ravi le public. L’équipe du festival se réjouit d’avoir pu la programmer à nouveau cette année.
« On aime beaucoup suivre le travail d’une compagnie et la ramener, confie Mme Marchand. Ça permet au public d’être témoin de son évolution. »
Sean Gandini assure que le plaisir est partagé : « On adore venir à Montréal, même en hiver, quand il y a des tempêtes de neige, révèle-t-il. C’est une ville spéciale qui nous a toujours bien accueillis. On ne s’est encore jamais produits à la TOHU et on a très hâte de le faire ! »
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