Des experts au service des entreprises

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«Nos expertises sont le fruit de plus de 550 projets de recherche et de développement technologique que nous avons planifiés, financés et réalisés en collaboration avec nos clients, des idées innovantes qui deviennent des prototypes, qui deviennent des produits commercialisables », explique Sébastien Adam, directeur Recherche et développement au CIMEQ. Rattaché au collège Lionel-Groulx à Sainte-Thérèse, le CIMEQ a pour mission d’accompagner les organismes, les institutions, les entreprises et plus particulièrement les PME dans l’innovation par l’aide technique, la recherche appliquée, l’information et la formation. « Un des grands avantages pour les entreprises de travailler avec nous, c’est que la propriété intellectuelle de ce que nous développons revient à l’entreprise, affirme Michel Chabot, directeur général du CIMEQ. Nous sommes au service des PME, des entreprises, et tous nos chercheurs sont spécialisés dans les domaines précis dans lesquels ils interviennent. »
Interdisciplinarité à l’honneur Le CIMEQ fait partie de Synchronex, un large réseau qui regroupe 1500 chercheurs de spécialités différentes, provenant de 59 centres de recherche répartis à travers la province. « On a des chercheurs qui travaillent sur les véhicules intelligents, d’autres sur la réalité augmentée et la réalité virtuelle, d’autres se penchent sur les mégadonnées, les systèmes prédictifs, l’apprentissage machine, l’intelligence artificielle, d’autres étudient le traitement des eaux, le design des vêtements ou le textile, entre autres. Il y a beaucoup de complémentarité », explique Sébastien Adam.
Ce réseau de chercheurs est à la disposition des entreprises afin de réaliser des projets multidisciplinaires. « C’est très rare qu’un projet ne nécessite pas l’expertise des autres centres complémentaires, ne serait-ce que pour des petites parties du projet », affirme le directeur Recherche et développement. « On ne travaille plus en vase clos, renchérit Michel Chabot. On a un fort réseau de collaborateurs pour aider les entreprises à aller plus loin dans leur processus de création. »
Des milliers d’objets connectés « Dans nos projets, créer de l’intelligence artificielle débute souvent par l’acquisition de données à l’aide d’objets connectés, lance le directeur général du centre, rappelant que le CIMEQ est spécialisé dans les objets connectés. Le CIMEQ se spécialise aussi au niveau des environnements intelligents dans les supermarchés, les serres, les fermes et les unités d’habitation, entre autres. »
Les objets connectés se trouvent par centaines dans les supermarchés : dans les systèmes de ventilation, de réfrigération, de congélation et de dégivrage, entre autres. « On peut capter des données dans certaines situations et analyser le comportement pour prendre des décisions éclairées et faire certaines actions », explique le chercheur. Par exemple, le CIMEQ a développé, en partenariat avec son client, une plateforme déployée dans plus de 5000 supermarchés au Canada et aux États-Unis, avec des appareils connectés qui collectent des données pour comprendre le fonctionnement des équipements. « On a suffisamment de données pour être capables d’analyser et de développer des modèles prédictifs afin d’améliorer le contrôle des appareils, améliorer leur maintenance ainsi que leur efficacité énergétique », explique M. Adam.
Pour plusieurs entreprises, l’objectif est d’améliorer les contrôles de l’environnement ou d’un système. « Il ne suffit pas de connecter les objets : il faut qu’il y ait une réelle intention », précise le chercheur. Même réalité dans nos maisons, avec des objets connectés permettant d’allumer les lumières, d’ouvrir la porte, ou encore de régler la température. « Actuellement, on travaille beaucoup pour créer des habitats intelligents à partir d’objets connectés », explique-t-il. Un des objectifs de ces travaux est de permettre aux personnes âgées de rester chez elles plus longtemps, par exemple.
Ainsi, le CIMEQ et Synchronex deviennent des partenaires majeurs pour les entreprises dans l’atteinte d’objectifs très diversifiés. « Quand les entreprises nous découvrent, elles regrettent souvent de ne pas nous avoir connus avant, tellement on aurait été utiles à plusieurs étapes de leur évolution! » se réjouit Sébastien Adam.
«Nos expertises sont le fruit de plus de 550 projets de recherche et de développement technologique que nous avons planifiés, financés et réalisés en collaboration avec nos clients, des idées innovantes qui deviennent des prototypes, qui deviennent des produits commercialisables », explique Sébastien Adam, directeur Recherche et développement au CIMEQ. Rattaché au collège Lionel-Groulx à Sainte-Thérèse, le CIMEQ a pour mission d’accompagner les organismes, les institutions, les entreprises et plus particulièrement les PME dans l’innovation par l’aide technique, la recherche appliquée, l’information et la formation. « Un des grands avantages pour les entreprises de travailler avec nous, c’est que la propriété intellectuelle de ce que nous développons revient à l’entreprise, affirme Michel Chabot, directeur général du CIMEQ. Nous sommes au service des PME, des entreprises, et tous nos chercheurs sont spécialisés dans les domaines précis dans lesquels ils interviennent. »
Interdisciplinarité à l’honneur Le CIMEQ fait partie de Synchronex, un large réseau qui regroupe 1500 chercheurs de spécialités différentes, provenant de 59 centres de recherche répartis à travers la province. « On a des chercheurs qui travaillent sur les véhicules intelligents, d’autres sur la réalité augmentée et la réalité virtuelle, d’autres se penchent sur les mégadonnées, les systèmes prédictifs, l’apprentissage machine, l’intelligence artificielle, d’autres étudient le traitement des eaux, le design des vêtements ou le textile, entre autres. Il y a beaucoup de complémentarité », explique Sébastien Adam.
Ce réseau de chercheurs est à la disposition des entreprises afin de réaliser des projets multidisciplinaires. « C’est très rare qu’un projet ne nécessite pas l’expertise des autres centres complémentaires, ne serait-ce que pour des petites parties du projet », affirme le directeur Recherche et développement. « On ne travaille plus en vase clos, renchérit Michel Chabot. On a un fort réseau de collaborateurs pour aider les entreprises à aller plus loin dans leur processus de création. »
Des milliers d’objets connectés « Dans nos projets, créer de l’intelligence artificielle débute souvent par l’acquisition de données à l’aide d’objets connectés, lance le directeur général du centre, rappelant que le CIMEQ est spécialisé dans les objets connectés. Le CIMEQ se spécialise aussi au niveau des environnements intelligents dans les supermarchés, les serres, les fermes et les unités d’habitation, entre autres. »
Les objets connectés se trouvent par centaines dans les supermarchés : dans les systèmes de ventilation, de réfrigération, de congélation et de dégivrage, entre autres. « On peut capter des données dans certaines situations et analyser le comportement pour prendre des décisions éclairées et faire certaines actions », explique le chercheur. Par exemple, le CIMEQ a développé, en partenariat avec son client, une plateforme déployée dans plus de 5000 supermarchés au Canada et aux États-Unis, avec des appareils connectés qui collectent des données pour comprendre le fonctionnement des équipements. « On a suffisamment de données pour être capables d’analyser et de développer des modèles prédictifs afin d’améliorer le contrôle des appareils, améliorer leur maintenance ainsi que leur efficacité énergétique », explique M. Adam.
« Il ne suffit pas de connecter les objets : il faut qu’il y ait une réelle intention ».
Pour plusieurs entreprises, l’objectif est d’améliorer les contrôles de l’environnement ou d’un système. « Il ne suffit pas de connecter les objets : il faut qu’il y ait une réelle intention », précise le chercheur. Même réalité dans nos maisons, avec des objets connectés permettant d’allumer les lumières, d’ouvrir la porte, ou encore de régler la température. « Actuellement, on travaille beaucoup pour créer des habitats intelligents à partir d’objets connectés », explique-t-il. Un des objectifs de ces travaux est de permettre aux personnes âgées de rester chez elles plus longtemps, par exemple.
Ainsi, le CIMEQ et Synchronex deviennent des partenaires majeurs pour les entreprises dans l’atteinte d’objectifs très diversifiés. « Quand les entreprises nous découvrent, elles regrettent souvent de ne pas nous avoir connus avant, tellement on aurait été utiles à plusieurs étapes de leur évolution! » se réjouit Sébastien Adam.

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