
Énergies
Introduire la circularité dans la transition
Une géante et son oeuvre
Pionnière de la Nouvelle-France et fondatrice de l’Hôtel-Dieu de Montréal, Jeanne Mance a joué un rôle majeur dans la consolidation de Ville-Marie. Pourtant, ce n’est que très tard, en 2012, qu’elle est proclamée officiellement sa fondatrice par la Ville de Montréal, à l’égal de Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve. À l’occasion du 350e anniversaire de son décès, ce cahier spécial, préparé en collaboration avec le Musée des Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Montréal — qui la célébrera dans une programmation unique du 7 mai au 18 juin —, rend hommage à cette femme de coeur, de tête et de vision ainsi qu’à ses héritières, les Religieuses hospitalières de Saint-Joseph, qui ont assuré et assurent encore aujourd’hui la poursuite de son oeuvre.
Ce cahier spécial vous donne rendez-vous chaque samedi. L’équipe des publications spéciales du Devoir vous invite à arrêter le temps pour vous poser avec votre café du week-end et plonger dans ces pages.
100 ans de savoirs pour un monde durable
L’Université de Montréal, HEC Montréal et Polytechnique Montréal seront, cette année, les trois établissements hôtes du 90e Congrès de l’Acfas, qui se déroulera du 8 au 12 mai prochain sur le thème « 100 ans de savoirs pour un monde durable ». Une multitude de colloques scientifiques et de communications et près d’une trentaine d’événements accessibles sur place et en ligne sont au programme, auxquels s’ajoutent plusieurs activités en marge du congrès, telles que des concerts, des causeries et des conférences. À l’occasion de cet événement annuel et du centenaire de l’Acfas, qui aura officiellement lieu le 15 juin, ce cahier spécial se penche sur quelques-uns des colloques coups de coeur qui font avancer les savoirs comme les réflexions au bénéfice de la société actuelle et de celle à venir.
Bâtir le territoire de demain
Douze ans après son adoption en 2011 par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), le Plan métropolitain d’aménagement et de développement du Grand Montréal (PMAD) a aujourd’hui besoin d’être actualisé et renforcé. Élus et experts réfléchissent ainsi aux nouveaux objectifs à atteindre d’ici 2030, 2040 et même 2050, dans le but de bâtir un territoire attrayant, inclusif et durable dans un contexte d’urgence climatique, écologique et sociale. Publié en collaboration avec la CMM à l’occasion de l’annonce du bilan 2023 du PMAD et de la cinquième Agora métropolitaine — organisée le 23 mai prochain au Palais des congrès de Montréal afin de lancer une discussion entre élus, experts et citoyens —, ce cahier consacré à l’aménagement du territoire métropolitain fait le point sur les différentes avenues possibles pour construire le Grand Montréal de demain.
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Le dilemme minier
Avec des retombées économiques de 12,5 milliards de dollars en 2020 et des redevances de près de 1 milliard versées au Trésor québécois en 2021, l’industrie minière est un acteur majeur de l’économie de la province. Elle pourrait par ailleurs le devenir plus encore à l’avenir, puisque notre sous-sol regorge de divers minéraux, comme le cuivre, le graphite, le niobium, le zinc, le cobalt, le nickel, le titane et le lithium, susceptibles de venir soutenir la transition énergétique et technologique ici et ailleurs. Explorer et exploiter a cependant un coût social, environnemental et éthique non négligeable. Si les minières se sont officiellement engagées dans la voie du développement durable ces dernières années, il n’en demeure pas moins que l’extraction laisse des traces et que les communautés vivant à proximité des gisements sont rarement celles qui en bénéficient le plus. Ce cahier consacré aux mines et aux ressources naturelles fait le point sur les retombées et le potentiel de ce secteur tout en explorant le chemin qu’il reste à parcourir afin que cette industrie puisse véritablement se prévaloir de durabilité.
Un printemps chaud
Négociation des conventions collectives du secteur public, grève de la fonction publique fédérale, revendications nombreuses pour les hausses de salaires, avec le coût de la vie qui ne cesse d’augmenter, pénurie de main-d’oeuvre généralisée, défis trop nombreux dans les écoles, nouvelles technologies qui font craindre d’autres grands bouleversements dans les relations de travail, santé physique et mentale des travailleurs mise à mal à travers cette tempête de défis… S’il fait encore un peu frisquet dehors, le printemps est déjà très chaud pour tous les syndicats. Alors que le 1er mai est la Journée internationale des travailleurs, ce cahier de notre série Syndicalisme donne la parole aux différentes centrales afin qu’elles puissent mettre en avant leurs grands chantiers et leurs principales revendications, et profite aussi de l’occasion pour survoler les enjeux syndicaux qui soulèvent les passions à travers le monde.
L’incontournable gouvernement de proximité
C’est sur ce thème que se dérouleront les 101es Assises annuelles de l’Union des municipalités du Québec (UMQ), qui réuniront élus et délégués du 3 au 5 mai 2023 au Hilton Lac-Leamy, à Gatineau. Publié à cette occasion, ce cahier vient souligner les principales préoccupations de l’heure au sein des villes et des villages — la transition écologique, la gestion des actifs, l’aménagement du territoire, l’itinérance, la mobilité, la hausse des coûts de construction, etc. — et rapporte les actions qui sont menées par les autorités municipales, ordre de gouvernement qui agit au plus près des organismes communautaires et des citoyens, afin de répondre aux besoins de leurs administrés et aux grands défis de notre époque.
S’offrir des plans d’action pour l’avenir
« Nous avons le savoir-faire, la technologie, les outils, les ressources financières et tout ce dont on a besoin pour surmonter les problèmes climatiques que nous avons établis », affirmait le président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), Hoesung Lee, lors du dévoilement du plus récent rapport de synthèse, en mars dernier. Si une « volonté politique forte » semble manquer, selon lui, pour y parvenir, les solutions et les actions possibles sont pourtant nombreuses, tout comme les propositions de réglementations gouvernementales mises en avant par les scientifiques, les organisations ainsi que les citoyens pour protéger la biodiversité et réduire les émissions de GES. À l’occasion de la Journée internationale de la Terre nourricière, qui a lieu chaque année le 22 avril, ce cahier tend le porte-voix à ces acteurs qui repensent l’avenir de manière lucide et résiliente.
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