
Des redevances de près de 1 milliard en 2021
L’exploitation minière fait tourner l’économie de plusieurs régions en plus d’alimenter les caisses de Québec.
Le dilemme minier
Avec des retombées économiques de 12,5 milliards de dollars en 2020 et des redevances de près de 1 milliard versées au Trésor québécois en 2021, l’industrie minière est un acteur majeur de l’économie de la province. Elle pourrait par ailleurs le devenir plus encore à l’avenir, puisque notre sous-sol regorge de divers minéraux, comme le cuivre, le graphite, le niobium, le zinc, le cobalt, le nickel, le titane et le lithium, susceptibles de venir soutenir la transition énergétique et technologique ici et ailleurs. Explorer et exploiter a cependant un coût social, environnemental et éthique non négligeable. Si les minières se sont officiellement engagées dans la voie du développement durable ces dernières années, il n’en demeure pas moins que l’extraction laisse des traces et que les communautés vivant à proximité des gisements sont rarement celles qui en bénéficient le plus. Ce cahier consacré aux mines et aux ressources naturelles fait le point sur les retombées et le potentiel de ce secteur tout en explorant le chemin qu’il reste à parcourir afin que cette industrie puisse véritablement se prévaloir de durabilité.
L’exploitation minière fait tourner l’économie de plusieurs régions en plus d’alimenter les caisses de Québec.
Une initiative canadienne aide les sociétés minières à gérer leurs responsabilités environnementales et sociales.
C’est ce que les Québécois ont majoritairement affirmé dans un sondage Léger mené en juillet dernier.
Malgré certains efforts, le rapport de force demeure trop largement en faveur de l’industrie.
Le secteur minier influence l’environnement, mais à l’inverse il subit aussi les changements climatiques.
Une innovation québécoise qui a séduit Elon Musk…
L'institut tente de positionner le Québec comme chef de file dans le savoir-faire de l’électrification des transports.
Les citoyens d’anciennes villes minières peuvent-ils se réapproprier les anciens sites ?