Des programmes novateurs aux formules flexibles
Les établissements d’enseignement supérieur travaillent continuellement à redéfinir leurs programmes ainsi que leurs angles de recherche. Ils veillent à intégrer de nouvelles matières et à offrir davantage de formules flexibles d’études pour mieux se coller aux diverses réalités des étudiants et de la société. À l’occasion des portes ouvertes hivernales organisées par plusieurs campus collégiaux et universitaires, ce dossier présente quelques-uns des nouveaux programmes, centres de recherche, groupes de réflexion et offres de service.
Le Conseil en éducation des Premières Nations et l’Université Laval ont signé une entente pour lancer ce projet.
Le programme, unique en son genre au Québec, est déjà très populaire.
En juin, 40 personnes participeront à la nouvelle école d’été organisée par l’Université de Montréal et Mila.
Pour aménager les forêts de façon durable, l’UQAC travaille avec l’industrie forestière et les Premières Nations.
Elles promettent de la restaurer, de la rehausser, au coeur de leurs campus.
Un nouveau groupe de réflexion qui se penche sur la durabilité à l’ère du numérique ouvre ses portes.
L’une se consacre au lien entre le climat et la forêt boréale, l’autre, à la gestion des eaux minières contaminées.
Ln réseau interuniversitaire a notamment été créé pour soutenir les enseignants en exercice.
En novembre dernier, l’Institut du véhicule innovant a inauguré son centre de recherche à Saint-Jérôme.
Elle pourrait avoir un rôle dans la marchandisation croissante de l’enseignement supérieur, croit la FNEEQ.
Cette formule répondrait mieux aux besoins d’une partie de la population que les programmes traditionnels.
De nouveaux services sont offerts pour aider étudiants et entrepreneurs à concrétiser leurs idées de génie.
Le cégep vient d’inaugurer un bureau destiné à soutenir l’innovation dans une perspective de durabilité.