
Les aînés sont inquiets pour leur pouvoir d’achat
L'inflation accable les aînés les plus pauvres, dont les revenus fixes sont incapables d’absorber le choc.
Vers un retour à la normale ?
Après deux années de confinement et d’isolement, les aînés peuvent de nouveau, depuis quelques semaines, partager un repas entre amis, pratiquer leurs activités intérieures comme extérieures et, surtout, revoir leur famille sans restriction ou presque et serrer leurs petits-enfants dans leurs bras. D’excellentes nouvelles qui en cachent toutefois d’autres, moins bonnes celles-là. La crise du logement et l’inflation galopante frappent en effet les plus vulnérables d’entre eux de plein fouet, et on assiste à une paupérisation de cette tranche de la population, et particulièrement des femmes qui ont peu ou pas travaillé et qui ne touchent qu’une maigre retraite. Ce cahier se penche sur quelques-uns des défis qu’en tant que société, nous devrons relever, afin que les plus âgés d’entre nous ne se sentent pas une nouvelle fois abandonnés.
L'inflation accable les aînés les plus pauvres, dont les revenus fixes sont incapables d’absorber le choc.
Pour vivre harmonieusement le vieillissement, l’OMS préconise le développement de «villes amies des aînés».
Deux chercheurs travaillent sur des organoïdes capables de mimer le fonctionnement des plexus choroïdes.
Le mouvement Habitats souhaite créer des territoires qui répondront aux besoins des futurs aînés.
Si tout le monde est le bienvenu au musée, plusieurs organisent des activités spécialement conçues pour les aînés.