
Pour un monde postpandémique juste et solidaire
La pandémie a exacerbé les inégalités, d'où l'importance d'une collaboration renouvelée entre le Nord et le Sud.
Ne parlez plus de nous sans nous !
Voilà le message livré par les groupes marginalisés, discriminés ou racisés qui appellent la communauté internationale à parler « avec » eux, plutôt que « sur » eux, lorsqu’il s’agit d’évoquer leur propre émancipation. En cette époque où la crise de la COVID-19 exacerbe les inégalités et les injustices à travers le monde, plusieurs organismes de coopération et de solidarité internationales d’ici appuient cette aspiration et en appellent à une transition vers une économie viable, fondée sur une réelle réciprocité. Les Journées québécoises de la solidarité internationale, qui se déroulent durant tout le mois de novembre, ont ainsi pour but d’accroître la sensibilisation et l’engagement des Québécois envers la coconstruction d’un monde juste et solidaire, propre à renforcer l’équité entre les communautés et les générations au-delà des frontières. Ce cahier consacré à la solidarité internationale s’intéresse aux enjeux liés à cette relance juste et donne la parole aux différents organismes qui s’activent sur le terrain afin de la mettre en œuvre.
La pandémie a exacerbé les inégalités, d'où l'importance d'une collaboration renouvelée entre le Nord et le Sud.
Les organisations québécoises ont dû revoir leur façon de faire… pour le mieux.
En Afrique et en Amérique du Sud, l’éducation et l’autonomisation économique sont les clés du succès.
Les jeunes Québécois se sont montrés plus engagés que jamais au cours des dernières années.
Plusieurs ONG québécoises travaillent pour améliorer les droits des peuples autochtones à l’étranger.
Il faut outiller les femmes qui vivent dans des régions isolées afin de mieux entendre leur voix.