
Le salaire n’a pas de genre, clame l'alliance APTS-FIQ
Les deux syndicats luttent pour les travailleuses en santé et services sociaux soient justement rémunérées.
Le printemps s’annonce chaud
Un système d’éducation qui s’écroule, un système de santé sous respirateur artificiel, un personnel à bout de souffle, une population qui reçoit de moins en moins de services, un gouvernement qui fait la sourde oreille, invoquant un cadre financier limité, et des travailleurs qui risquent d’être moins bien protégés si le projet de loi n° 59 passe en l’état : voilà le sombre tableau que dressent la plupart des syndicats. Si certaines centrales ont récemment signé une entente de principe avec le gouvernement concernant les négociations dans le secteur public, plusieurs autres se sont munis de mandats de grève et menacent de les utiliser s’ils ne se font pas entendre rapidement. À l’occasion de la Journée internationale des travailleuses et des travailleurs, le samedi 1er mai, les principaux leaders syndicaux prennent la parole pour faire connaître leurs revendications, mais aussi afin d’exposer leurs idées et leurs propositions pour l’avenir, la relance semblant de plus en plus à nos portes.
Les deux syndicats luttent pour les travailleuses en santé et services sociaux soient justement rémunérées.
La pression exercée par la culture d’entreprise continue de peser lourd dans la balance de la santé mentale.
Dans quel cadre cette forme de travail peut-elle continuer? Quelques éléments de réponses avec la présidente de la SGPQ.
À la veille d’une grève générale illimitée, la FAE est parvenue à conclure une entente de principe.
La FNEEQ-CSN parle d’«enseignement palliatif» pour dénoncer la transition numérique forcée de la profession enseignante.
La centrale demande au ministre du Travail de modifier sa réforme de la Loi sur la santé et sécurité du travail.
Parmi les thèmes débattus par la CSN, on compte l’avenir du télétravail ou encore la hausse des salaires.
Parce que «revenir de l’ouvrage en un morceau et en [bonne] santé, c’est un droit, pas un souhait.»
Selon la centrale syndicale, la pandémie n’a fait qu’exacerber les lacunes en matière de prévention.
Devant l'urgence climatique, Bâtirente a développé depuis 2005 une politique d’investissement responsable.
Le président de la CSD prévient qu’il faudra tirer toutes les leçons de la crise pandémique.
La pandémie de COVID-19 a permis de mettre en lumière les travailleurs essentiels.