Diffuser nos savoirs
Après l’annulation de l’édition 2020 pour cause de pandémie, le congrès de l’Acfas est de retour cette année dans une formule entièrement virtuelle. À compter de lundi et durant toute la semaine prochaine, plus de 4000 congressistes assisteront derrière leur écran à une riche programmation sur le thème Du jamais su. Plus de 200 colloques, près de 4000 communications scientifiques et environ 600 communications libres aborderont, sous l’angle de la recherche, des sujets aussi brûlants d’actualité que les changements climatiques, le cannabis médical, la violence conjugale, l’itinérance, la protection de l’enfance, la proche-aidance ou encore, incontournable cette année, la COVID-19. Pour l’occasion, l’équipe des publications spéciales du Devoir consacre un cahier spécial à cet événement, mettant en avant quelques-uns des colloques qui devraient certainement faire parler d’eux.
Les mesures sanitaires sont venues restreindre radicalement les rites d’interaction.
La plus grande manifestation scientifique pluridisciplinaire du monde francophone démarre lundi.
Il y en a pourtant de plus en plus qui choquent et au sujet desquels on insulte, on engueule, on débat.
La pandémie de COVID-19 a transporté presque toutes nos activités et nos interactions sur les écrans.
«Il y a d’autres forces qui expliquent la montée des populismes, et l’éducation ne peut pas tout faire».
Durant la dernière année, les arts ont servi de bouée de sauvetage pour de nombreuses personnes.
Un changement graduel d’approche est nécessaire pour adoucir le long chemin des personnes itinérantes.
Elles intéressent les experts en vue de développer des traitements contre de nombreuses maladies.
«Les animaux ont une grande capacité d’adaptation, mais il faudra voir si on n’étirera pas trop l’élastique.»
Les inondations et l’érosion, qui préoccupent les populations riveraines, sont à la base naturels et utiles.