
L'authenticité des femmes dans l'œil de Bénédicte Brocard
La photographe partage un extrait de son essai photographique sur le regard que les femmes portent sur elles-mêmes.
Vraies. Plurielles. Femmes.
Que de chemin parcouru depuis que les pionnières du féminisme ont démarré leur combat pour l’égalité des genres il y a de cela un siècle. Si la ligne d’arrivée est loin d’être franchie, les femmes de la génération silencieuse sont bien placées pour raconter combien les rapports hommes-femmes ont évolué. Dans ce cahier, publié à l’occasion de la Journée internationale des femmes célébrée lundi dans le monde entier, quatre d’entre elles nous livrent leur récit et posent leur regard sur l’évolution de la condition féminine. D’autres évoquent plutôt le chemin qu’il reste à parcourir alors qu’il s’avère que les femmes payent le plus fort tribut depuis le début de la pandémie, qu’elles sont encore trop souvent victimes de violence conjugale et que celles qui font partie des minorités culturelles et sexuelles continuent à subir des discriminations multiples. Face à cela, de plus en plus de femmes répondent par l’authenticité et la sincérité. Pauline Marois, Mitsou et Mylène Paquette se prêtent à l’exercice dans un photoreportage à découvrir également dans ces pages.
La photographe partage un extrait de son essai photographique sur le regard que les femmes portent sur elles-mêmes.
En puisant dans leurs souvenirs, quatre femmes illustrent le chemin parcouru au chapitre des droits des femmes.
Des études menées depuis le début de la crise sanitaire démontrent que les femmes sont plus touchées que les hommes.
Les stéréotypes de genre éloignent les femmes du domaine des sciences et des technologies.
La campagne D’Elles à Élues promeut l’intérêt de la vie politique municipale en présentant des élues inspirantes.
Sa mission? Favoriser l’émancipation et la réussite des femmes afrodescendantes.
La lutte contre la violence passe autant par l’éducation que par l’indépendance économique des femmes.
Le jeu de société est en plein boom, et c’est en bonne partie grâce aux femmes!