
Petites fleurs, grande mission de reproduction
Une équipe de chercheurs montréalais vient de valider une hypothèse darwinienne vieille de 150 ans.
Chercher, toujours plus loin
Rien n’arrête la science, pas même une pandémie. Surtout pas une pandémie, nous dit la vice-rectrice à la recherche de l’Université de Montréal, Marie-Josée Hébert. Les chercheurs doivent découvrir encore et toujours, et apprendre à vulgariser leurs trouvailles afin d’en faire bénéficier toute la société et de lutter contre la désinformation. Du fabuleux pouvoir des fleurs aux espoirs médicaux que fait naître le croisement des fichiers BALSAC et Cart@gène en passant par les effets réels des politiques de décarbonisation, ce nouveau numéro du cahier Recherche place sous la loupe quelques-uns des innombrables travaux de recherche menés dans les universités d’ici.
Une équipe de chercheurs montréalais vient de valider une hypothèse darwinienne vieille de 150 ans.
La pandémie a mis à l’avant-scène les scientifiques et souligné l’importance de rendre accessibles leur travail.
L’épinette noire est une solution naturelle pour venir à bout de la germination et de la pourriture des tubercules.
Le fichier de population BALSAC et la biobanque Cart@gène permettent de faire avancer la recherche en santé.
L’UQAM vient tout juste de créer une Chaire de recherche sur la décarbonisation.
Une chercheuse de l’Université Concordia s’efforce d’améliorer la fiabilité des moteurs électriques.