Enseignement supérieur

Un an loin des pupitres

Après les trimestres de printemps, d’été et d’automne, c’est autour de celui d’hiver de passer en mode virtuel, ou hybride dans le meilleur des cas. Les uns après les autres, les établissements d’enseignement supérieur s’y résignent et l’annonce cette semaine du passage de Montréal et Québec, les deux principales villes étudiantes, en zone rouge, ne devrait pas inverser cette tendance. Une situation qui n’est pas sans poser de problèmes, tant aux professeurs qu’aux étudiants, qui, le printemps prochain, ne se seront pas retrouvés ensemble en salle de classe durant plus d’un an. Ce cahier spécial fait le point sur les difficultés que vit le milieu, tout en mettant l’accent sur la formidable capacité d’adaptation de ces établissements et des gens qui les fréquentent.

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