
La maternelle comme terrain de prévention
Des programmes visent à contrer les difficultés comportementales et d’apprentissage avant l’entrée à l’école.
À vos masques. Prêts ? Partez !
Après cinq mois de calme plat, les corridors des écoles du Québec grouilleront à nouveau de vie au cours de la semaine prochaine. Un véritable défi pour tout le système scolaire, qui, s’il s’est révélé être l’un des grands piliers de notre société durant la crise sanitaire et le confinement de ce printemps, n’en demeure pas moins des plus fragiles. À la vétusté des bâtiments et au manque d’espace, de ressources et d’enseignants que dénoncent parents et syndicats depuis plusieurs années maintenant s’ajoutent les défis liés à la pandémie : port du masque dès la 5e année du primaire, lavage de mains, distanciation physique, protocole d’urgence en cas de suspicion de cas de COVID-19 ou encore gestion des cours à distance pour les élèves à risque. Malgré cela, le ministère de l’Éducation ouvrira comme prévu 350 nouvelles classes de maternelle 4 ans. Autant dire que la rentrée 2020 risque bien de rester dans les mémoires.
Tour d’horizon avec plusieurs experts et organisations du milieu, de même qu’avec le ministre Jean-François Roberge, qui a reçu Le Devoir dans ses bureaux de Montréal mardi.
Des programmes visent à contrer les difficultés comportementales et d’apprentissage avant l’entrée à l’école.
Tout le personnel scolaire devra porter un couvre-visage, sauf en classe.
Les chantiers du gouvernement Legault en éducation continuent malgré les soubresauts de la pandémie.
Les représentants des principaux syndicats impliqués dans le milieu de l’éducation expriment leur point de vue.
À quoi ressemble la rentrée scolaire des enfants qui reçoivent un enseignement à domicile?
Au printemps, du jour au lendemain, les enseignants se sont mis à travailler de leur salon…
En ces temps de pandémie particulièrement anxiogènes, à quoi peut-on s’attendre et, surtout, que faire?