
Solidaire jusqu’au bout
Après avoir elle-même contracté la COVID-19, elle répond à l’appel à l’aide dans les CHSLD.
Merci !
Il y a bien sûr nos « anges gardiens », comme le premier ministre Legault les a nommés dès le début de la pandémie. Le personnel soignant, des médecins aux préposés aux bénéficiaires, en passant par les infirmières et autres inhalothérapeutes. Mais il y a aussi tous les autres, les éducateurs œuvrant dans les services de garde d’urgence, les chauffeurs de bus, épiciers, quincailliers, travailleurs sociaux, journalistes, proches aidants, producteurs agricoles et employés de l’industrie alimentaire… Tous ces gens qui, au risque de leur propre vie, se lèvent tous les matins ou quittent leur domicile en fin de journée pour venir en aide aux malades ou pour continuer à faire tourner l’économie. Avec cette galerie de portraits, Le Devoir souhaite rendre hommage aux travailleurs des services essentiels et leur dire tout simplement merci.
Après avoir elle-même contracté la COVID-19, elle répond à l’appel à l’aide dans les CHSLD.
Jonathan Grenier a été appelé en renfort au CHSLD Sainte-Dorothée à la mi-avril.
Sandrine Chauveau est affectée à la clinique de dépistage de l’Hôpital général juif de Montréal.
D’ordinaire journaliste, Charles-Édouard Carrier gère une clinique de dépistage de la COVID-19 à Québec.
Karine Genest et ses collègues s’occupent des enfants de ceux qui sauvent des vies.
Incursion dans le quotidien d’un CPE qui a gardé ses portes ouvertes.
Sillonner les rues de Montréal et prendre le pouls de la ville à l’heure de la COVID-19.
Lui livre des fruits et légumes pendant qu’elle tient une petite épicerie dans Rosemont.
Rencontre (à distance) avec quelques quincailliers qui ont dû s’adapter à la réalité de la crise.
S’adapter pour maintenir ses activités.
Diane Hébert supervise l’ensemble des opérations du couvoir de Victoriaville.
Quand les deux membres du couple travaillent dans les services essentiels…
En Matanie, le SANAM s’assure du bien-être des personnes immigrantes en ces temps de pandémie.
C’est la mission que s’est donnée Guillaume Morrissette en ces temps de pandémie.
Incursion dans une matinée «covidienne» avec les travailleurs de l’organisme Le Sac à dos.
La mission journalistique, essentielle en temps de crise.