
Maîtriser la langue à travers l’écriture hip-hop
Des ateliers littéraires pour démontrer la puissance des mots dans le rap.
50 ans, et dans la force de l’âge
2020 marque le cinquantenaire de la création de l’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT) devenue par la suite l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Or, si les cérémonies prévues cette semaine au Niger pour l’ouverture de cette grande année de festivités ont été reportées en raison de l’épidémie de COVID-19, le monde francophone ne s’est quant à lui jamais aussi bien porté. Le français est en effet la cinquième langue au monde, avec 300 millions de locuteurs, représentant 4 % de la population, et ce nombre devrait plus que doubler d’ici 30 ans, portant la population francophone à 700 millions en 2050, dont 85 % en Afrique.
Cette bonne santé ne doit cependant pas faire oublier les nombreux défis que les organisations de la francophonie ont à relever jour après jour. Des défis que Le Devoir s’attache à exposer dans ce cahier spécial sur la francophonie d’ici et d’ailleurs.
Des ateliers littéraires pour démontrer la puissance des mots dans le rap.
L’autrice a un faible pour la langue française, qui l’a «mise au monde une deuxième fois».
Qui n’a jamais songé, un jour, à changer d’identité, à se réinventer complètement?
Le visage de la francophonie change, et son coeur se déplace.
Des initiatives de la société civile renforcent l’éducation internationale en français.
Ou pourquoi composer en français quand on vit en Amérique du Nord.
Les cégeps francophones pourraient bientôt devenir minoritaires à Montréal.
Nombre de spécialistes s’entendent là-dessus mais avec certaines nuances.
Le français du Québec et de l’Acadie fait son entrée sur ce marché.
Coup de projecteurs sur deux initiatives à l’attention des immigrants.
Le moteur de la francophonie se trouve maintenant en Afrique.
L’Association des clubs entrepreneurs étudiants attire toujours plus de membres.