Ce printemps, à l’occasion de la 25e édition du Festival Metropolis bleu, Montréal sera à nouveau la plaque tournante de la littérature mondiale. Au programme de ce grand évènement créatif multilingue : des rencontres publiques et des rendez-vous numériques avec une centaine d’écrivains, réunis avec les lecteurs pour parler de leur art et se projeter dans l’avenir.

Depuis un quart de siècle, le Festival littéraire international Metropolis bleu rallie ceux et celles qui aiment découvrir ou redécouvrir des auteurs à travers leurs œuvres, leurs réflexions sur le métier et leur vision du monde. C’est ainsi que, du 27 au 30 avril prochain, l’Hôtel 10 à Montréal accueillera des écrivains venus des Amériques, de l’Europe et du Moyen-Orient pour participer à un riche programme où les échanges se feront en français, anglais, innu, espagnol, catalan, portugais, italien et hébreu.

Metropolis bleu, l’un des plus grands festivals littéraires multilingues d’Amérique, s’est doté cette année de trois porte-paroles : la comédienne et écrivaine Gabrielle Boulianne-Tremblay, le poète, traducteur et éditeur David Bradford, ainsi que l’autrice jeunesse, professeure de lettres et animatrice d’ateliers Monique Polak.

Le futur à l’agenda

Chaque édition de Metropolis bleu s’articule autour d’un thème principal qui allie la conscience sociale à l’infinie richesse de la littérature. Cette année, le Festival se tourne résolument vers le futur et l’avenir de la planète, de la démocratie, des identités, des langues, des peuples et de la littérature. Nul doute qu’en ces temps d’incertitude, ces grands axes de discussion sauront susciter des réflexions et des échanges entre écrivains et lecteurs.

Les têtes d’affiche du Festival : la poétesse innue Joséphine Bacon, l’homme de théâtre québécois Michel Marc Bouchard, l’écrivain canadien Michael Ondaatje, qui a signé, entre autres, le célèbre roman Le patient anglais, et Margaret Atwood, à qui l’on doit la remarquable dystopie La servante écarlate. Plusieurs auteurs et autrices de l’international seront également sur place, à commencer par l’écrivain explorateur Sylvain Tesson, le romancier Mathieu Lindon et l’économiste Esther Duflo, co-prix Nobel d’économie en 2019 (France), le romancier Paolo Cognetti (Italie), l’écrivain et scénariste Santiago H. Amigorena (Argentine), la romancière Carol Bensimon (Brésil), l’autrice Lina Meruane (Chili), l’essayiste et juriste Philippe Sands (Grande-Bretagne, France)et la romancière Yaël Neeman (Israël).

La diversité au programme

Comme à chaque édition, le Festival Metropolis bleu propose une programmation AZUL en espagnol et en portugais, ainsi que des volets thématiques tels que Voix autochtones, Série Violet – LGBTQ, Littératures de l’imaginaire et Almémar, où les rencontres sont tantôt spécifiques, tantôt croisées avec d’autres univers. Cette diversité fait en sorte que la programmation 2023 misera une fois de plus sur la curiosité des regards, les échanges d’idées et la pluralité des voix.
Créée en 1997, la Fondation Metropolis bleu est un organisme à but non lucratif qui a pour mission de réunir les gens de langues et de cultures diverses autour du plaisir de lire et d’écrire, permettant ainsi une plus grande créativité et favorisant une meilleure compréhension interculturelle. La Fondation présente annuellement un Festival littéraire international et offre, tout au long de l’année, une gamme de programmes éducatifs et sociaux en classe et en ligne. Ces programmes utilisent l’écriture et la lecture comme outils thérapeutiques, de persévérance scolaire et de lutte contre la pauvreté et l’exclusion.

Ce contenu a été produit par l’équipe des publications spéciales du Devoir en collaboration avec l’annonceur. L’équipe éditoriale du Devoir n’a joué aucun rôle dans la production de ce contenu.