Le sud, autrement

L’île la plus orientale de l’archipel des Antilles a bien plus à offrir que ses plages étincelantes aux eaux incroyablement turquoise. Ses paysages changeants, son riche patrimoine historique et son dynamisme bien ancré dans notre époque en font une halte incontournable pour ceux qui veulent concilier soleil, plaisir et découvertes.
Micro-État insulaire faisant partie du Commonwealth, la Barbade est la plus prospère des îles des Caraïbes (et la plus british), malgré le fait qu’elle ait obtenu son indépendance en 1966 après trois siècles de domination anglaise. Son charme colonial est toujours bien présent, contrairement à d’autres destinations soleil dominées par une surabondance de bannières commerciales et de grandes chaînes hôtelières. Un bel exemple : l’inscription de la capitale de la Barbade, la ville portuaire de Bridgetown (incluant sa garnison), sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Un site historique admirablement préservé, à explorer pour découvrir l’architecture de ses 115 bâtiments classés, son parlement et ses musées, et pour se familiariser avec les événements qui ont marqué l’histoire locale.
Photo: Hannah Freediver
La Barbade se distingue également par sa culture bajan (le mot est dérivé de l’anglais Barbadian), ancrée dans ses racines antillaises, africaines et britanniques. Elle se reflète dans ses valeurs, ses coutumes et ses traditions – ici, on boit du rhum, on assiste à des matchs de cricket et on danse au rythme de la soca ou du calypso –, et elle se traduit par un accueil aussi chaleureux qu’authentique.
Photo: Silversea Tourism Board Barbados
On peut compter sur des liaisons aériennes toute l’année durant, et un service sans escale à partir de Montréal est offert jusqu’au mois d’avril. Pour en savoir plus sur la Barbade : visitbarbados.org/fr/
Micro-État insulaire faisant partie du Commonwealth, la Barbade est la plus prospère des îles des Caraïbes (et la plus british), malgré le fait qu’elle ait obtenu son indépendance en 1966 après trois siècles de domination anglaise. Son charme colonial est toujours bien présent, contrairement à d’autres destinations soleil dominées par une surabondance de bannières commerciales et de grandes chaînes hôtelières. Un bel exemple : l’inscription de la capitale de la Barbade, la ville portuaire de Bridgetown (incluant sa garnison), sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Un site historique admirablement préservé, à explorer pour découvrir l’architecture de ses 115 bâtiments classés, son parlement et ses musées, et pour se familiariser avec les événements qui ont marqué l’histoire locale.

La Barbade se distingue également par sa culture bajan (le mot est dérivé de l’anglais Barbadian), ancrée dans ses racines antillaises, africaines et britanniques. Elle se reflète dans ses valeurs, ses coutumes et ses traditions – ici, on boit du rhum, on assiste à des matchs de cricket et on danse au rythme de la soca ou du calypso –, et elle se traduit par un accueil aussi chaleureux qu’authentique.
Des plages, et encore des plages
Il y a beaucoup à voir et à faire à la Barbade, mais il est impossible de passer sous silence ses plages, qui sont toutes publiques. Quoique petite, l’île est un grand récif de corail qui compte près de 100 kilomètres de littoral ; c’est donc dire qu’on a du choix ! Les plages de carte postale propices à la baignade, à la plongée et à la planche à pagaie (SUP) se déploient sur les côtes ouest et sud-ouest, tandis que celles du côté de l’Atlantique, où les courants sont plus puissants, sont parfaites pour le surf, les pique- niques à l’air salin et les randonnées pédestres. Enfin, les ports de plaisance où l’on peut réserver une excursion de pêche ou une échappée en catamaran abondent partout sur l’île.
Un parfum de rhum
La production de cet alcool tiré de la canne à sucre, qui est étroitement associée à l’histoire et à l’économie de l’île, a officiellement démarré au début du 18e siècle, après l’arrivée des premiers Britanniques. Près de 400 ans plus tard, elle est toujours indissociable de la vie insulaire. Les petites routes de campagne traversent encore des champs de canne à sucre ondoyant sous les alizés, et de nombreuses distilleries et anciennes plantations attendent les visiteurs curieux de connaître l’histoire des lieux et de goûter à leurs excellents produits. Enfin, il ne faut pas passer à côté des rum shops – on en compte plus de 1 500 – où on peut prendre un verre, grignoter un morceau, écouter de la musique et passer un bon moment. On les reconnaît notamment à leurs enseignes très colorées.Saveurs locales
L’histoire et la diversité culturelle de la Barbade enrichissent sa cuisine haute en couleur. La pêche locale est privilégiée, et si on prise le vivaneau, le thon, les crustacés et les coquillages, c’est surtout le poisson volant qui se retrouve dans l’assiette des visiteurs comme des gens du coin. À découvrir aussi : le cou-cou d’origine africaine (mélange de semoule de maïs et d’okra), les caris antillais, le gratin de macaronis tout droit sorti d’un pub et les fruits tropicaux tels que la papaye et la mangue, qui abondent sur l’île. On peut se régaler tout aussi bien dans un café sympathique que dans un bar en bord de plage ou à l’une des tables élégantes de Holetown, près du luxueux centre de villégiature Sandy Lane. À la Barbade, il y a de tout pour tous les goûts !On peut compter sur des liaisons aériennes toute l’année durant, et un service sans escale à partir de Montréal est offert jusqu’au mois d’avril. Pour en savoir plus sur la Barbade : visitbarbados.org/fr/

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